La femme du gouverneur Ch 1
Grand Prize – The Governor’s Wife!
Coulybaca /Black Demon
Grogna à voix basse, Cecil Benson, à l'adresse de deux de ses hommes, connus en tant qu’agents de recouvrement chargés de récupérer le prix de ses services auprès de certains consommateurs qui réclamaient sa protection.
Ce commerce de la protection rapprochée que dirigeait Cecil l'amenait à fournir des gardes du corps armés pour les clients qui faisaient des affaires dans la banlieue sud de la ville, qui était sous son contrôle.
Sa boite fournissait une protection contre tous ceux qui étaient assez fous pour s'en prendre à ses clients, ces agresseurs avaient toutes les chances de se retrouver au fond de la rivière s'ils s'en prenaient à ses clients.
Ces deux clients se refusaient à payer sa protection, depuis qu'ils savaient qu'il contrôlait totalement les activités dans ce quartier.
En fait le volume d'argent qu'ils retiraient de leurs activités chaque semaine était véritablement obscène, une véritable fortune.
Le seul problème était que leur boulot était qualifié d'obscène par le public bon chic bon genre par l'association "Ensemble Contre le Porno (ECP)" qui leur créait un tas de problèmes, tant de problèmes que deux bons clients avaient décidé de planter leur tente ailleurs et de déménager dans un coin de l'état ou cette association aurait beaucoup moins d'influence.
C'est alors que Bubba Jones, surnommé le marteau, un de ses lieutenants, fit chorus...
Puis il ajouta :
Pensant à ce que Bubba venait de dire, Cecil gloussa
Un de ses hommes de main ajouta alors :
Un autre poursuivit :
Un troisième gloussa :
Au fond de la salle un autre poursuivit :
Tout le monde faisait chorus criant haro sur la salope qui leur créait tant de problèmes, mais ils savaient tous savaient que c'étaient des paroles en l'air, elle s'avérait intouchable dans sa position.
C'est alors que Bubba reprit le crachoir :
Puis il ajouta en la voyant discourir sur l'écran télé dans une intervention anti-porno :
Bubba répondit :
Bubba gloussa et lança :
Cecil sourit et commenta :
Cecil éclata alors de rire et poursuivit :
A l'âge de 35 ans, madame Christine Caldwell (es mademoiselle Christine Peters) était en fait la femme la plus respectable et la respectée de l'état. Mère de deux jeunes enfants, elle s'était fait un nom en se livrant à une chasse acharnée des pervers avant de prendre la tête de l'association "Ensemble Contre le Porno ".
Ses attaques répétées contre l'industrie du porno, qui pensait-elle était la bible des pervers, mettaient en péril ce secteur d'activité.
Elue mère de l'année deux ans plus tôt, présidente de la ligue des femmes vertueuses, elle était maintenant première dame de l'état depuis l'élection de son mari au poste de gouverneur l'année précédente.
Elle avait usé de son statut de première dame et usait de son influence pour obtenir les moyens matériels permettant à l'ECP, son association, de lutter avec sucés contre l'industrie du porno.
Jusqu'au ministre de l'intérieur l'avait assuré de son appuis dans cette lutte lorsqu'il lui avait été présenté, et ce bien que l'objectif principal des forces de l'ordre ne soit pas de lutter contre cette industrie pernicieuse.
Jolie, bien éduquée, instruite, Christine avait été en tête de classe de l'école élémentaire à la fac où elle suivait des études de droit.
Depuis qu'une de ses amies avait été sauvagement violée au lycée, Christine vouait sa vie à pourchasser les pervers et les mettre hors d'état de nuire à la société.
Cherchant à développer son expérience de ce genre d'affaires, elle avait travaillé avec le ministère public de son état dédaignant les nombreuses offres d'emploi juteuses que lui avaient faites des cabinets d'avocats renommées.
Quoique bardée d'un doctorat de droit criminel, elle avait accepté un poste de procureur ce qui lui avait permis d'apprendre beaucoup plus sur les conduites criminelles qu'elle ne l'aurait pu dans toute autre fonction.
Jusqu'ici son éducation catholique et bien pensante l'avait tenue à l'abri des atteintes de la vie, sa vie passée au collège, au lycée puis à l'université était quelque peu différente de la vie scolaire ordinaire.
Elle avait exercé le poste de rédactrice en chef de journaux scolaires tout au long de sa scolarité, elle était devenue la représentante des élèves.
Elle avait fréquenté une fraternité plus dédiée à l'étude qu'aux plaisirs de la vie.
Elle n'avait jamais eu de rendez-vous amoureux, elle état restée pure et innocente ce qui la désavantageait fortement dans son désir de combattre les crimes sexuels.
Son appartenance au bureau des affaires criminelles qui manquait de personnel, lui avait permis de se retrouver sur le terrain, seule ou accompagnée d'autres détectives, dès que ses premiers essais avaient été jugés concluants.
L'un des premiers cas qu'elle avait du traiter concernait un client de prostituée qui avait cogné une policière en civile avec une cannette.
En lisant le rapport de l'officier de police, elle crut lire de l'hébreu, elle ne savait pas par où commencer.
En interviewant et questionnant de l'officier qui avait rédigé le rapport, il devint apparent qu'elle n'y connaissait rien, la policière roula des yeux et s'enquit :
Christine rougit et avala sa salive car cette femme avait raison.
Par chance la femme policier eut pitié d'elle et lui précisa :
Elle lut :
Sa mâchoire se décrocha à l’audition de ces propos, elle en resta muette pendant un bon moment avant qu'elle ne reprenne pied dans la réalité, ayant bien du mal à croire ce qu'on venait de lui révéler.
Plus tard, le jour de la conciliation, Christine se demanda si elle pouvait se rendre au tribunal pour tenir un rôle effectif dans les poursuites contre cet homme qui avait été arrêté en tant que client de prostituées.
Mais comme c'était la première charge retenue contre lui, le noir plaida coupable et ne reçut pour toute sanction qu'une tape amicale sur les doigts.
Elle avait braqué les yeux sur cet infâme salaud qui avait plaidé coupable et s'en tirait avec une sanction symbolique, il la regardait en retour un sourire démoniaque sur son visage et se pourlécha les babines comme s'il lui faisait les mêmes propositions ici au cœur du tribunal. C'était clairement lisible sur son visage qu'il lui offrait 100 $ pour lui faire les mêmes choses qui lui valaient sa comparution devant le tribunal... La faire s'agenouiller pour lui pisser sur le visage avant de lui faire sucer sa bite et d'éjaculer bien au fond de son arrière-gorge.
Depuis elle avait des cauchemars récurrents provoqués par cette proposition aussi indécente qu'informulée.
Se tournant et se retournant dans son lit, elle se réveillait de son cauchemar à l'instant ou le sale pervers lui noyait le visage d'urine chaude.
Parfois même elle s'était réveillée incapable de respirer, étouffée par l'innommable pénis noir enfoncé dans sa gorge qui lui coupait la respiration.
D'autre fois le cauchemar se terminait alors qu'il éjaculait son ignoble semence dans son arrière-gorge et sa bouche.
Chaque fois elle se réveillait le corps baignant dans une sueur froide ce qui la persuadait encore plus de lutter contre ces pervers sexuels.
Elle rencontra l'aimable Kyle Caldwell au tribunal dans le cadre d'une affaire de vandalisme contre les biens de l'état. Elle poursuivait un jeune adolescent coupable de ces méfaits que Kyle était chargé de défendre.
Une semaine après le jugement ils eurent un premier rendez-vous.
Ils avaient tous deux le coup de foudre et Kyle était le premier homme de sa vie !
Bien sur elle avait au quelques rendez-vous dans ses années lycée puis fac, mais rien de bien sérieux en fait, elles n'avaient que des relations tout à fait platoniques avec ces premiers petits amis, et encore cela ne durait-il que quelques semaines.
Ils se fiancèrent rapidement et se marièrent dans la foulée.
Kyle Caldwell, était né dans une éminente famille de la côte est, il avait suivi ses études dans un lycée prestigieux, puis dans une fac de tout premier plan, y obtenant ses diplômes de droit.
Etant donné son pedigree, il paraissait naturel qu'il fasse une carrière politique à l'image de ses oncles et de son père.
La défense de ce jeune adolescent, fils d'un des gros clients du cabinet d'avocat était la meilleur chose qui lui était arrivée dans la mesure ou cela lui avait permis de rencontrer la ravissante procureur du ministère public qui le poursuivait pour l'état.
Sa famille lui organisa de fabuleuses noces, tout gotha était présent, Kyle ne parvenait pas à croire en sa chance d'épouser une aussi ravissante jeune femme que Christine Peters.
Kyle avait profité de tous les avantages que lui conférait le nom de sa prestigieuse famille, ce qui incluait un grand nombre de filles pendant ses années de lycée puis de fac, jusqu'au jour de l'enterrement de sa vie de garçon, beaucoup de filles étaient prêtes à l'épouser pour jouir de la fortune de sa famille.
Kyle n'était pas timide, il avait tiré tous les avantages que la fortune de ses parents lui offraient, mettant de nombreuses filles dans son lit et adorant plus particulièrement se faire sucer.
Lorsqu'il avait proposé à Christine de le cajoler, il avait compris qu'elle n'était pas du même bois que toutes ces filles qu'il s'était faite, elle n'était pas particulièrement intéressée par la richesse de sa famille et entendait rester vierge jusqu'au jour de leur nuit de noce.
Tout le long de leurs fiançailles, de chaste rendez-vous en chaste rendez-vous Kyle avait recours, discrètement aux service d'escort-girls qui le soulageaient de toute cette pression accumulée.
Ainsi pendant la durée de leurs fiançailles, un an, Kyle continua à payer les services des filles qui le soulageaient de sa forte tension sexuelle.
Après s'être embrassé et peloté avec sa ravissante promise il se retrouvait avec la bandaison d'un âne, il faisait alors un détour dans des endroits ou d'aimables hôtesses le soulageaient aimablement de toute cette pression.
Il faisait comme si c'était sa somptueuse fiancée qui le suçait avec application, il avait hâte d'épouser sa future pour que ses rêves se réalisent.
Mais alors que son rêve se réalisait, qu"il épousait la ravissante jeune femme dont il était tombé follement amoureux il constata que cela ne voulait pas dire pour autant qu'elle allait satisfaire tous ses désirs.
En fait, dès le retour de leur lune de miel il comprit qu'il était inutile de nourrir l'espoir qu'elle puisse un jour refermer ses lèvres pulpeuses sur sa bite palpitante.
Cela avait été le motif de leur première brouille, la première fois qu'il avait dormi dans la chambre d'ami après que sa femme l'ait chassé de sa chambre et verrouillait la porte dans son dos.
Il avait été choqué de la voir réagir aussi violemment à sa demande, le regardant horrifiée, révulsée alors qu'il luttait main posée sur sa nuque pour presser son gland turgescent contre ses lèvres fermées.
Ne s'attendant pas à une réaction aussi farouche il s'était retrouvé avec stupéfaction propulsé de force hors de leur lit.
Devant se limiter à lui faire l'amour dans la position du missionnaire ou de s'exposer à un renvoi de sa chambre, il avait rangé son envie de voir ses lèvres se refermer sur sa bite au rang de pure fantasme.
De ce fait, bien que marié, il continua à fréquenter les escort-girls qui satisfaisaient ses appétits lubriques que se refusait à satisfaire son accorte épouse.
Il avait rapidement était promu associé dans le cabinet d'avocat qui l'employait tant les vieux routiers du cabinet étaient conscients de côtoyer une star montante de la politique.
Rien que son nom leur apportait une publicité énorme dans les magazines people tant sa photo apparaissait fréquemment en première page, il avait rapidement été élu gouverneur de l'état sans expérience particulière de la gestion d'un état.
Après avoir filé pendant deux semaines le gouverneur à la recherche de sujets le compromettant, Bubba souriait de toutes ses dents en constatant que Kyle faisait souvent appel aux services d'agence d'escort-girls pour avoir recours à leurs "accompagnatrices".
Se renseignant d'ici de là, glissant un bon nombre de pourboires aux bonnes personnes, Bubba apprit que le grand homme avait souvent recours aux services de ces call-girls lorsqu'il voyageait hors de la ville.
Il apprit tout aussi rapidement qu'il rétribuait très largement leurs services, une certaine partie revenant d'ailleurs à leurs agences.
L'une de ces accompagnatrices lui avait même confié :
Normalement, le gouverneur Kyle Caldwell ignorait totalement les données qu"il laissait aux mains de ses collaborateurs ou dans celles de son assistant personnel. Il les laissait gérer bien des affaires mineures, à moins que ce ne soit des solliciteurs qu'il connaissait personnellement, il comptait sur son équipe gérer le tout venant.
Ce jour même, après avoir scruté attentivement la liste des appels téléphoniques, il tomba sur le nom d'une personne qui lui semblait familier.
Le nom d'une des personnes l'ayant appelé alluma un signal d'alarme dans son esprit, il reconnut assez rapidement le nom d'une fille qu'il fréquentait alors qu'il était célibataire avant qu'il ne décide de ne plus faire appel qu'à des filles dont il rétribuerait les services !
Il se rappelait aussi le nom de l'agence dont il requerrait les services à l'époque de ses années universitaires, lorsqu'il n'avait aucun besoin de dissimuler ses frasques alors qu'il payait les services des call-girls en se servant de sa carte de crédit, et c'était au nom de cette entreprise qu'elle le contactait.
Le motif de cet appel indiquait ;
Sachant que la croisade de sa femme contre l'industrie du porno portait ses fruits Kyle avala sa salive sachant très bien que la compagnie en question était dans le collimateur de l'association de sa femme !
Un frisson d'angoisse traversa son corps à l'idée que ses frasques aient pu être découvertes et puissent de ce fait être divulguées en public.
Il était évident qu'ignorer cet appel ne pouvait que s'avérer désastreux il courait le risque que ses turpitudes extra-conjugales soient étalées au grand jour, si cela venait à se savoir, son adorable femme remplirait immédiatement les imprimés nécessaires pour divorcer et le dépouillerait de tous ses avoirs.
Un noir habillé for élégamment pénétra dans le restaurant et s’approcha de sa table, il lui remit en main propre une enveloppe de la part d'un de ses clients qu'il représentait.
Ce mandataire d'un cabinet juridique dont Kyle reconnut le nom lui indiqua alors :
Se servant de son couteau à beurre posé sur la table, Kyle trancha le haut de l'enveloppe, puis il extirpa lentement l'extrémité d'une photo le dos tourné vers son interlocuteur.
Kyle se sentit mal, sa vie se déroula à vitesse grand V devant ses yeux égarés, bordel de merde cette foutue photo représentait une scène visiblement prise lors de son dernier voyage d'affaires.
Se remémorant sa rencontre avec la call-girl envoyée par l'agence il se rappelait son expertise dan le domaine de la pipe alors que ravi, il se vidait les couilles au fin fond de sa gorge accueillante.
La photo le représentait penché en arrière, yeux fermés, mains posées sur sa nuque, on ne voyait que quelques centimètres de sa bite, le reste étant enfoui entre ses lèvres pulpeuses.
Il avala nerveusement sa salive, lorsque son interlocuteur lui demanda si tout était en règle et lui répondit :
Quelques jours plus tard, Kyle trempé d'une sueur froide prenait l'appel du mystérieux monsieur Jones.
C'est alors qu'il apprit pour quoi il était la cible de ce chantage alors que cet homme à la voix rauque lui rétorquait :
Le lendemain, Bubba Jones dit "le marteau" était assis, tout à fait serein, dans le restaurant où le gouverneur avait eu connaissance, la veille, de la photo le concernant où il se faisait tailler une pipe.
Au moment prévu, il vit le gouverneur prier son homme du corps de veiller à sa sécurité de l'extérieur du restaurant alors que lui-même pénétrait dans l'auberge où il avait rendez-vous avec lui.
Il entendait l'homme haleter encore plus péniblement que la veille au téléphone, il réalisa qu'il le tenait par les couilles et qu'il allait pouvoir en tirer des avantages considérables !
Ce n'était que la première étape de son chantage, il escomptait tirer un sacré bonus de cette affaire lorsqu'il aurait convaincu cette foutue salope d'abandonner sa croisade contre l'industrie du porno.
Une bonne heure après le début du rendez-vous, le gouverneur Caldwell poussa un profond soupir de soulagement assuré qu'il était maintenant que cette photo extrêmement compromettante ne serait pas publiée dans les journaux, encore moins dans les tabloïds !
Bien sur le prix de cette assurance était considérable, mais il n'avait pas le choix en la matière s'il voulait garder son poste de gouverneur de l'état et ne pas être la cible des sarcasmes de toute la nation.
Bubba Jones avait instillé des frissons glacés dans son corps alors qu'il le menaçait de déchaîner les foules contre lui.
C'est à cet instant que Kyle avait compris que son, poste de gouverneur était en jeu, tout ça à cause de la foutue croisade anti-porno de l'association de sa femme.
Il ne l'avait soutenue que par sa présence et en lui facilitant le contact avec des personnes très influentes, elle lui avait d'ailleurs rappelé à cette occasion que lorsqu'il lui avait passé l'anneau au du doigt, il avait fait le serment d'être à ses cotés et de lui faciliter ses luttes une fois qu'il serait élu.
Il avait agrée, loin de penser qu'elle aurait un tel impact auprès du public et que sa campagne anti-porno interviendrait en sa faveur lors de sa campagne électorale.
Et comme sa femme apparaissait de fait comme une puritaine pure et dure, il n'avait pu découvrir rien de compromettant pour la discréditer, c'était la seule raison pour laquelle ils avaient décidé d'exploiter ses faiblesses.
Il avait été extrêmement choqué d'apprendre que cet homme n'en voulait pas à son argent, il s'était d'ailleurs contenté de glousser ironiquement alors qu'il lui offrait 50.000 $ pour récupérer les preuves de son inconduite;
Il avait alors offert 100.000 $ sachant qu'il s'enfonçait et avait tort de faire cette proposition.
Mais, Kyle était désespéré de se retrouver dans une position aussi précaire avec sa réputation et son poste de gouverneur en jeu, et peut-être même l'avenir de son mariage avec Christine.
Lorsque monsieur Jones lui avait signifié que seul le fait d'ajouter trois zéros à la droite de son dernier chiffre pouvait l'amener à réfléchir, Kyle avala sa salive sachant qu'il ne pourrait jamais se procurer une telle somme.
Kyle hocha affirmativement répondant ainsi à monsieur Jones qui précisait :
En fait ce sale bâtard noir avait mis le doigt sur le vrai motif de ses escapades, mais il savait pertinemment qu'en aucun cas sa ravissante femme ne se sacrifierait pour lui sauver la mise, à la vue de cette photo de lui se faisant sucer par une call-girl.
Bubba gloussa ironiquement en lui précisant :
De retour dans sa limousine, le gouverneur Caldwell poussa un long soupir de soulagement, certain que son marché avec monsieur Jones préserverait son nom, sa réputation et son poste.
Fermant les yeux il en profita pour se relaxer quelque peu après avoir subi un tel stress, il avala nerveusement sa salive se représentant les lèvres pulpeuses de son adorable femme ouvertes en grand pour accueillir la grosse bite noire de son suborneur.
Il se représentait Christine à quatre pattes la face révulsée par le dégoût alors qu'il approchait son gland turgescent ses lèvres vierges de ce genre de contact.
A la pensée de cette scène incroyable, la bite de Kyle se déploya dans son pantalon, il bandait comme un âne.
Il se représentait son adorable femme tournant la tête dégoûtée alors que Jones lui tirait cruellement ses longs cheveux soyeux, la bite de Kyle frémit d'excitation à la pensée de la bite couleur ivoire crachant son venin sur le visage révulsé de sa somptueuse femme.
Le lundi matin suivant, alors que Christine montait dans la limousine dont le valet de l'hôtel tenait la porte ouverte, elle s'assit bien au fond de son siège et en attendant que son mari prenne place à son coté alors que le chauffeur ajustait son rétroviseur.
Alors que son mari s'asseyait et fermait la portière, Christine avala sa salive le souffle coupé à la vue d'un large visage noir arborant un sourire salace tourné vers eux pour les saluer :
Cet homme souriant l'énervait fortement avec son sourire concupiscent et ses yeux salaces inspectant les détails de son visage avant de s'attarder sur les charmes de son corps qu'il parcourut jusqu'à ses hauts-talons blancs.
Christine aurait juré avoir vu ce sale bâtard se pourlécher les babines alors qu'il détaillait attentivement ses charmes.
Frissonnante elle avala sa salive, se tourna vers son époux alors que la limousine abordait un virage, pour lui demander :
Clay Morris les servait depuis bien avant l'élection de son mari au poste de gouverneur, et cet homme d'âge moyen l'avait toujours traitée avec le plus grand respect, quelque chose que semblait tout à fait ignorer cet individu.
Toute étonnée elle entendit son mari lui répondre qu'il avait reçu un coup de fil de son directeur du personnel l'avisant que Clay avait été sévèrement agressé par un assaillant inconnu qui l'avait vraisemblablement pris pour cible en raison de ses relations avec le bureau du gouverneur.
Aussi monsieur Jones avait-il été désigné pour remplacer du fait qu'il pouvait en même temps assurer le rôle de garde du corps si on les menaçait.
Mais en réalité il avait vu Bubba Jones faire ce que lui disait sa femme , il l'avait même vu ajuster le rétroviseur pour jeter un oeil sous ses jupes alors qu'elle s'installait sur le siège arrière.
Le gouverneur avait bien raison il s'était arrangé pour jeter un oeil indiscret sous sa jupe blanche. Et il avait profité de la vue, sa bite s'était brusquement déployée alors qu'il profitait d'un bon point de vue sur ses cuisses blanches e"t le fond de sa petite culotte de dentelle blanche.
Il avait pris l'autoroute qui les menait à "l'Hôtel Impérial" de l'autre coté de la ville, Bubba ne pouvait s'empêcher de jeter de fréquents coups d'œil sur l'adorable jeune femme par le biais de son rétro..
A peine étaient-ils arrivés à destination, que Bubba se précipitait hors de la voiture pour ouvrir la porte pour le gouverneur et sa ravissante femme.
La bite de Bubba frémit alors qu'il lui tendait la main pour l'aider à descendre de la voiture, en dépit de sa révulsion elle posa sa main dans la sienne pour ne pas créer de scandale.
Pendant ce temps le gouverneur enfouit sa main dans sa poche et lui tendit une petite enveloppe qui renfermait ses instructions :
De retour au volant de la limousine, Bubba se dirigea vers un parking et chercha un coin d'ombre pour y attendre pendant une bonne heure le gouverneur et son adorable femme.
Tendant la main dans sa poche, Bubba en sortit l'enveloppe de kraft que le gouverneur lui avait donné de quitter la limousine lui signifiant de façon sibylline qu'il lui fournissait ce qu'il avait réclamé.
Déchirant l'enveloppe Bubba regarda son contenu et sourit de toutes ses dents montrant sa satisfaction.
Il gloussa :
En sortant le contenu il le porta à son visage et en respira avidement les flagrances, avant de se tordre de rire en ajoutant :
Il était sur maintenant de bien tenir le gouverneur par les couilles ce qui le faisait bander comme un âne, il pourrait sûrement facilement l'obliger à droguer le verre de sa femme pour la rendre inconsciente puis il pourrait se la faire avec une extrême lubricité tandis que son mollasson de mari le regarderait faire !
Mais cela lui semblait trop facile, à la limite il tirerait peu de plaisir à violer une femme inconsciente, rien ne lui semblait meilleur que de tenir entre ses serres, une ravissante proie terrifiée de se voir sur le point de se faire violer. Rien ne pourrait être meilleur que de disposer de la première dame du pays agenouillée entre ses cuisses pointant le bout de sa petite langue rose sur sa grosse bite odorante. Et quel plaisir il prendrait à lui juter en pleine face, d'autant plus si cet événement était filmé !
Après avoir servi de chauffeur pendant trois jours au gouverneur et sa somptueuse épouse Bubba avait les burnes dans la gorge à force de reluquer ses longues jambes blanches chaque fois qu'elle montait ou descendait de la limousine.
Il avait appris qu'après leur dernier engagement de l'après-midi ils avaient l'habitude de se relaxer dans la limousine en sirotant un double scotch on the rocks pour le gouverneur tandis que sa femme savourait un verre de cabernet bien frais.
Aussi, ayant reçu le programme de la journée, ayant deux heures à tuer pendant qu'ils assisteraient à une conférence, Bubba avait décidé d'en profiter pour préparer la mise en oeuvre de son plan pour la soirée.
De retour sur la zone de prise en charge des clients, Bubba sortit et ouvrit la portière à l'arrivée du gouverneur et sa femme.
Le gouverneur et la première dame de l'état se dirigèrent vers la voiture, accompagné des nombreux officiels qui sollicitaient leur intervention.
Une fois la porte refermée, il s'assit à sa place et démarra les avisant :
En voyant dans son rétroviseur la première dame siroter son verre de cabernet sa bite se déploya à la simple idée de ce qui allait se passer d'ici peu.
Le trafic était aussi important qu’il l'avait espéré, Bubba regardait dans son retro la jeune femme vider lentement son verre de vin, déjà elle avait savouré plus de la moitié du verre qu'il avait drogué. Il s'agissait d'une toute nouvelle drogue en vente sur le marché, une substance qui rendait son consommateur inconscient pendant une paire d'heures, il suffisait ensuite de lui faire respirer des sels pour la sortir de son état d'hébétude, la laissant en état de fonctionner ne ressentant qu'une forte fatigue.
Parallèlement il avait glissé dans le verre une bonne dose de cantharide qui la rendrait plus chaude qu'une chatte pissant dans la braise, même dans son état de torpeur du à la drogue.
Jetant un oeil sur le retro, Bubba sourit en voyant les effets de la drogue, cette salope avait maintenant bien du mal à ternir ses yeux ouverts et sa tête oscillait de droite à gauche alors qu'elle reposait son verre vide dans le bar.
Bubba lui jeta un oeil par le biais du retro et l'informa :
A la vue du masque de frayeur qu'affichait maintenant le visage de son interlocuteur alors qu'il tournait rapidement la tête vers sa femme pour voir si elle avait entendu ces commentaires salaces Bubba le renseigna :
Quelques minutes plus tard, le conducteur de la limousine appuya sur un bouton et la cloison mobile fermant le garage se releva lentement.
Sortant de la voiture il alla allumer les lumières qui se trouvaient de l'autre coté du véhicule.
Il regarda alors le gouverneur de l'état observer attentivement le comportement de sa femme.
Etre le premier magistrat de l'état n'empêchait le gouverneur Kyle Caldwell de se tenir figé face à ce spectacle abasourdissant, c'est alors que son chauffeur lui intima de sortir la camera qui se trouvait sur une étagère proche des spots lumineux.
Kyle filmait le chauffeur se dirigeant vers la porte arrière du véhicule, puis il polarisa son objectif sur sa femme sachant pertinemment ce qui allait s'ensuivre.
Le sale bâtard noir tendit la main pour caresser sa cuisse la plus proche.
Comme il faisait très chaud ce jour là, sa femme n'avait pas mis de collant exhibant ses jambes nues sous les yeux de ses admirateurs.
Le bras séparant la banquette en deux lui servait de support, il tira ses superbes jambes au dehors de la limousine, puis il glissa ses deux mains sous sa jupe pour la débarrasser de sa petite culotte de dentelle blanche.
Il la porta alors à ses narines et en respira longuement les flagrances intimes tourné vers l’objectif de la camera, il écarta ensuite la petite culotte de son visage et l'accrocha à la poignée d'ouverture de la limousine.
Continuant à filmer les mésaventures de sa femme compétemment droguée, Kyle captura l'image de Bubba Jones qui réunissait ensemble les mains de sa femme lui entrelaçant les doigts puis il fouilla dans sa poche à la recherche de quelque chose pour lui entraver les mains.
Détournant les yeux de l'écran pendant un instant pour voir de visu Kyle réalisa qu'il devait s'agir d'un lien transparent, sans doute du fil de pêche.
Il lui lia alors les mains doigts entrelacés.
Il remonta facilement l'ourlet de sa jupe lui caressant le bas ventre exposant à l'objectif son vagin et les babines soyeuses de sa fentine.
Bubba Jones prit alors place entre les cuisses de sa ravissante femme hébétée, saisissant ses mains il les posa sur l'arrière de son crane, n'importe quel spectateur ne pourrait que constater qu'elle savourait avec délice ses caresses lui agrippant la tête pour presser ses lèvres contre sa chatoune qu'il butinait avidement.
Subjugué par ce qui se passait, la bitte pendant hors de sa braguette le gouverneur Kyle Caldwell regardait dans son viseur et se dépassait de droite et de gauche pour mieux capturer les scènes se déroulant sous ses yeux avides.
Les intentions de ce salopard de Bubba Jones étaient évidentes à la vue de sa longue langue qu'il agitait lubriquement sous l'objectif de la camera.
Il se pencha en avant pour offrir un meilleur point de vue sa longue langue dardée disparut lentement dans les replis soyeux de la foufoune de la ravissante jeune droguée.
Au vu des tremblements du corps de sa bien-aimée et à entendre ses couinements de femme en chaleur, il était évident que ces caresses linguales lui faisaient un effet fracassant.
De son point d'observation le gouverneur Caldwell voyait sa somptueuse femme bander les muscles de ses cuisses, orteils pointés vers le sol, alors qu'elle s'arquait pour mieux profiter de la langue fouineuse de son chauffeur.
La tête rejetée pressée contre l'entrecuisse de sa "maîtresse" dans un spasme d'extase, il paraissait évident que Christine participait avec ravissement à cette scène de débauche se réjouissant de tout son corps de se faire bouffer sa chatoune juteuse.
Finalement Christine s'effondra totalement molle, la bouche grande ouverte.
Bubba Jones retira alors que face réjouie de l'entrecuisse de la jeune femme et se tourna vers la camera en se pourléchant les babines avec un grand sourire pervers.
Ses lèvres luisaient de cyprine, la provenance de ce jus d'amour semblait évidente... Il provenait tout droit du délicieux entrecuisse de Christine !
Il continuait à filmer alors que Bubba glissait sa tête hors du cercle de ses mains entrelacées, il dénoua alors les liens qui maintenaient ses mains ensemble et les arrangea de façon à ce qu'elles soient juste tenues par les pouces.
Les mains de Bubba posées sur sa taille, ses doigts entrelacés étaient refermés sur sa grosse bite, Bubba intervint alors :
n le voyant hésiter, Bubba ajouta :
Quelques instants plus tard, Caldwell se tenait à coté de sa ravissante femme maintenant sa tête alors que Bubba promenait sa grasse mentule sur ses lèvres et ses joues !
Le fier gouverneur aurait sûrement préféré ne pas participer de façon aussi active à la dégradation de sa malheureuse femme à la demande de son maître chanteur auquel il servait d'assistant.
C'était déjà assez moche de figurer sur une vidéo avec une prostituée lui taillant une pipe, mais ce serait encore pire si quelqu'un le voyait tenir la tête de sa femme pour que son suborneur puisse plus facilement abuser d'elle.
Petit à petit il réalisait à quel point sa connivence avec Bubba Jones était mise en évidence, depuis qu'il avait refermé la porte du garage dans leur dos Bubba avait pressé un bouton déclenchant la mise en route de trois cameras qui filmaient ce qui se passait dans le garage.
Non seulement il figurait sur le film, mais on l'y voyait facilitant le viol de sa femme par Bubba.
Il reprit alors la camera en main suivant les instructions de son maître-chanteur après avoir reposé la tête de Christine sur l'accoudoir central du siège, Kyle regardait maintenant attentivement ce sale bâtard qui haletait visiblement impatient de cracher son venin sur le visage de son adorable petite femme.
Il priait pour qu'il respecte sa parole et n'éjacule pas sur le visage de sa malheureuse proie, évitant de souiller son élégant tailleur... Uh.. Uh... Uhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Grogna soudain Bubba jetant sa gourme sur le siège arrière de la limousine.
Un nouvel arc de foutre jaillit dans les airs poissant les doigts entrelacés de Christine toujours refermés sur sa bite tressautante.
Un chiffon en main que venait de lui donner son chauffeur, le premier homme de l'état se voyait réduit au rôle d’un humble concierge alors qu'il nettoyait soigneusement les jets de foutre qui maculaient le cuir de la limousine.
Jetant un coup d'œil par-dessus son épaule il vit le sale bâtard pendre la petite culotte de Christine et s'en servir pour nettoyer les doigts souillés de foutre de son adorable femme.
Puis il vit Bubba la prendre sous les aisselles pour l'asseoir correctement sur le siège arrière de la limousine, puis il avait entrepris de lui remettre sa petite culotte souillée.
Pire encore il pressait le fond de sa petite culotte contre son entrecuisse d'un doigt tendu, espérant visiblement imprégner sa chatoune juteuse de sa vile semence.
De retour à la résidence du gouverneur, Christine s'éveilla lentement, elle étouffa un profond bâillement et s'exclama :
Venant en aide à sa femme alors qu'elle levait la main pour étouffer un second bâillement, Kyle s'empara de sa main et l'écarta de son visage dans sa hâte de l'aider à remonter l'allée du garage.
C'était surtout parce qu'il ne voulait pas que sa femme respire le profond remugle du foutre de Bubba qui imprégnait ses doigts, même s'il avait essuyé ces derniers sur le fond de sa petite culotte.
Dix jours plus tard, après que Bubba les ait conduit à de nombreuses réunions, Christine souhaitait encore récupérer leur chauffeur régulier et voir Bubba Jones disparaître de leur azimut.
Elle détestait particulièrement qu'il la conduise seule, elle avait la sensation confuse que ce bâtard serait capable de les arrêter sur une voie isolée pour l'assaillir... Pour la prendre de force, la violer sans vergogne !
Christine n'avait aucun préjugé en ce qui concerne les noirs, elle côtoyait de nombreux noirs dans son boulot même s'ils ne faisaient pas partie de leur entourage gouvernemental.
Ce week-end, après trois longues heures de route, ils arrivaient au grand hôtel de "Benson County" où se tenait la conférence annuelle des maires du pays.
C’était le premier voyage hors de la ville qu'ils faisaient depuis que leur chauffeur habituel avait été mis hors circuit, c'était donc la première fois que leur nouveau chauffeur les accompagnait.
Bubba Jones agissait comme s'il était un des assistants personnels du gouverneur, s'occupant de leurs bagages, leur servant des boissons rafraîchissantes...
Comme le voyage s'était avéré long et fatiguant, Christine n'y prenait pas garde lorsque son mari interpella leur chauffeur lui demandant de lui servir une boisson fraîche une fois qu'il aurait allumé la télé pour suivre les informations locales.
Sirotant son verre de cabernet, Christine commença à ressentir des effets inhabituels, elle serra inconsciemment ses cuisses l'une contre l'autre.
Ses tétons la démangeaient en frottant contre la dentelle de son soutien-gorge, elle posa d'abord son avant bras sur ses nichons pour calmer son excitation puis elle se les caressa franchement.
Elle se sentait follement excitée alors qu'elle se tortillait sur le sofa, elle jeta alors un coup d’œil circulaire cherchant à distinguer ou se trouvait son mari, il était assis au bar, bras écartés la tête entre ses bras comme s'il s'était brusquement endormi.
Les fourmillements qui couraient dans tout son corps, atteignaient maintenant un haut niveau Elle avala sa salive en voyant le large sourire qui fleurissait sur les lèvres de son chauffeur alors qu'il buvait une lampée de son verre en s'approchant d'elle en desservant sa cravate.
C'est alors qu'il lui dit :
Voyant le chauffeur déboutonner sa chemise Christine comprit tout de suite ce qu'il entendait par là...
Rugit Christine en tendant les bras pour le repousser. Jetant un nouveau coup d’œil sur le bar ou se tenait son mari, elle réalisa qu'effectivement il n'avait pas entendu ses cris et ses appels à l'aide alors que ce pervers bâtard manifestait l'intention de l'agresser sexuellement.
Elle se mit à haleter sourdement alors que les informations se voyaient remplacées par un film porno.
Les yeux écarquillés elle s'esclaffa :
On voyait clairement leur démoniaque chauffeur fourrer sa tête entre les cuisses d'une magnifique blonde.
Jamais Christine n'avait assisté à un spectacle aussi obscène, c'était exactement le type de manifestation que son organisation voulait bannir de l'état. Elle grinça des dents en voyant l'épaisse langue se démener dans la fentine de sa jolie proie éperdue.
Comme la camera prenait un certain recul elle put constater que cette salope prenait un plaisir évident à se faire butiner la fleur les doigts entrelacés sur la nuque de son amant.
Puis elle vit la jeune salope verrouiller ses cuisses sur les épaules de son séducteur, muscles tétanisés, orteils pointant au sol tandis qu'elle s'arquait pour mieux s'offrir aux caresses de la langue agile de son amant.
Sur le film le corps de la vedette s'amollit soudain, alors que le chauffeur se redressait les lèvres enduites de son jus luisant, elle l'entendit alors lui préciser :
Christine n'avait aucun souvenir de tout cela, elle se demandait même quand cela avait bien pu se passer, cependant il était évident que c'était bien elle sur la vidéo.
Il était tout aussi évident que cette baise se passait sur le siège arrière de la limousine. Jetant un nouvel oeil sur son mari écroulé sur le bar, elle déduisit qu'ils avaient tous deux été drogués cette nuit là tandis que ce démoniaque bâtard la fourrait, visiblement la drogue absorbée avait décuplé ses appétits tout en inhibant ses préventions avant d'en effacer le souvenir dans son esprit.
Puis la pensée des dommages que pouvait créer cette vidéo à son organisation si elle était diffusée dans le public, la frappa quant à son impact dur la carrière politique de son mari.
Elle se sentait totalement désarmée alors que sa vie se déroulait derrière ses paupières, elle balbutia affolée :
Du bar, au travers de la fente de ses yeux presque entièrement fermés, le soi disant mari drogué regardait sa femme pleurnicher et gémir tremblant pathétiquement de peur.
Toutes inhibitions effacées par la puissante drogue courant au travers de corps, le tout couplé avec son affreux dilemme, amena Christine a conclure qu'il ne fallait surtout pas que cette vidéo tombe dans le domaine public, sa vie et celle de son époux en seraient dévastées, et que pour cela elle devait utiliser tous les moyens de dissuader son interlocuteur.
Se glissant sur le rebord du sofa elle se laissa tomber à genoux à quatre pas de son tourmenteur.
Se mordant les lèvres elle se força à avancer vers lui en rampant sur ses genoux, tremblante de peur elle gardait les yeux rivés sur l'énorme bosse qui déformait le devant de son pantalon. Elle se sentait malade en l'entendant préciser :
Kyle, la bite tressautant dans son pantalon observait attentivement les courbes voluptueuses du corps de sa femme chérie.
Il voyait les lèvres pulpeuses de sa femme s'entrouvrir alors qu'elle haletait de honte alors que sa main s'approchait de la bite de son suborneur qui se tenait face à elle jambes grandes écartées, les mains posées sur ses hanches lui conseillant :
Mais il voulait en voir encore plus, espérant qu'elle allait sortir rapidement son chibre de son écrin, mais cette fois consciente de ce qu'elle faisait.
Christine respirait bruyamment par le nez tant elle serrait les dents pour réprimer les nausées qui secouaient son estomac alors qu'elle s'efforçait de complaire à la demande de son suborneur, descendant la fermeture éclair de sa braguette avant de plonger la main dans son pantalon pour localiser son outil sexuel. Elle crissa des dents et frémit en découvrant que cet infâme bâtard ne portait aucun sous-vêtement sous son pantalon !
Révulsée, son estomac protestant vigoureusement elle empoigna son épaisse hampe entre le pouce et l'index afin, de l'extirper de son pantalon.
De son point d'observation le long du bar, Kyle se demandait si c'était la puissante dose de cantharide que Bubba Jones avait mélangé au vin qui l'avait amenée à surmonter ses inhibitions initiales.
Il s'était bien rendu compte qu'au départ elle avait frémi de peur à l'idée de ce qu'elle allait subir, et voila que maintenant elle passait la langue sur ses babines, les humectant inconsciemment en attendant d'absorber la grosse bite qu'elle branlait maintenant à deux mains.
Comme Bubba avait posé sa main dans sa chevelure emmêlée, il savait pertinemment qu'elle ne parviendrait pas à reculer sa tête quand bien même elle voudrait éviter d'avaler le flux chaud et crémeux que cracherait sa grosse bite dans sa gorge. Bubba re^prit :
Le corps fourmillant d'excitation, les tétons érigés, la foufoune enflammée Christine ne comprenait pas pourquoi elle se demandait avec curiosité ce qu'allait lui faire d'avoir pour la première fois une bite de mâle en bouche.
Les inhibitions mentales habituelles qui auraient dû la révulser à cette idée avaient été effacées par le puissant aphrodisiaque la faisant saliver d'anticipation à l'idée de se faire dépuceler la bouche.
Et lorsqu'il pressa son épais gland turgescent contre ses lèvres soyeuses, elle ne rejeta pas la tête en arrière, mais bien au contraire elle testa de la pointe la langue son méat provoquant un rugissement de son suborneur ravi :
Sexuellement excitée, mentalement débarrassée de ses inhibitions, Christine s'excitait à la vue de ce colosse noir sursautant à chaque caresse de sa langue qui décrivait de petits cercles délicieux sur son gland enflammé avant de l'engouffrer au fin fond de sa gorge.
Essoufflé, il épiait attentivement le gouverneur qui yeux écarquillés regardait son exquise femme le sucer obligeamment.
- Oh oui ma chérie... grommelait-il en enfournant encore plusieurs centimètres de son épais braquemart dans sa gorge asservie.
- Allez ma chérie, savoure ma bite ! Savoure là ! Lui intima-t-il en pressant ses hanches contre son visage.
- Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... C'est ça... Oh oui, continue... Ohhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Alors que son petit nez s'enfouissait dans la toison crépue de son pubis.
Les mains maintenant posées sur les hanches puisqu'elle n'avait plus aucune bite à tenir, Christine sentit qu'il empoignait sa main droite et la fourrait dans sa braguette en lui enjoignant :
- Et maintenant cajole mes grosses burnes... Prends les bien en main pour les mignoter... Sens es... Sens les bien lorsque je te cracherai mon foutre en pleine gorge.
Sur ces mots il replaça ses doigts dans sa chevelure pressant toujours son visage contre son pelvis alors qu'elle caressait obligeamment ses grosses burnes d'une main exploratrice, se demandant ce qu'il entendait par "sens les lorsque j'éjaculerai"...
Le nez enfoui dans sa toison pubienne, Christine réalisa alors qu'elle avait réussi à avaler ses trente cm de long de bite dans son arrière-gorge vierge jusqu'à ce jour, et qu'elle avait fait de son mieux pour lui complaire servilement.
Bien qu'il feignit de rester froid à la vue de sa ravissante épouse prenant sa première leçon de fellatrice Kyle comprenait que sa charmante femme n'allait pas tarder à devoir infléchir la position de sa damnée association qui avait pour but d'anéantir l'industrie du porno dans leur état.
Il savait après avoir visionné la vidéo où sa ravissante femme jouissait follement en se faisant brouter le gazon par Bubba Jones qu'elle ne pourrait jamais laisser diffuser cette cassette dans le public.
Même s'il était prouvé qu'elle n'était pas consciente lorsque c'était advenu, Kyle savait que les cameras disséminées ici et là par ce démoniaque bâtard feraient la différence.
Bubba Jones avait placé des mini cameras aux endroits stratégiques de la chambre lorsqu'il avait prétendu inspecter la suite pour la purger d'éventuels micros-espions, il avait même du en placer dans leur chambre qui se déclencheraient au moment venu.
Et lorsque Bubba Jones s'écria :
En voyant Bubba Jones crocher solidement sa chevelure, Kyle sur que sa ravissante femme ne tarderait pas à goûter pour la première fois à la saveur de ma semence masculine. Il se demanda alors :
Une fois que Bubba Jones eut clairement énoncé sa vile intention, Christine essaya instinctivement de repousser sa grosse bite qu'elle serrait fermement entre ses doigts.
Puis, à la pensée de ce qui allait se passer elle paniqua, Christine ne voulait surtout pas que ce pervers bâtard se soulage dans sa bouche.
En l'entendant souffler et le sentant frissonner, Christine comprenait que l'instant de vérité était tout proche, c'est alors qu'elle sentit nettement ses burnes se contracter au creux de sa main.
Quelques secondes plus tard, ce fut à son tour de frissonner alors qu'elle gargouillait sous le déluge de foutre salé qui lui emplissait soudain la bouche.
Les yeux écarquillés d'horreur elle se trouvait incapable de rejeter le foutre qui lui emplissait la bouche, alors que ses lèvres étaient étroitement pressées sur sa hampe, elle devait soit avaler sa sinistre semence, soit étouffer sous le flot.
Frémissante de dégoût elle engloutit sa première lampée, horrifiée, elle sentit de nouvelles giclées frapper ses muqueuses alors qu'il remplissait à nouveau la bouche. Elle savoura de nouveau son foutre gras... Et encore... Et encore...
Les bras pendant mollement le long de son corps, Christine regardait d'un air morne un long filet de foutre qui reliait sa bouche à son pénis.
L'estomac retourné, Christine se mit à trembler.
Un frisson la parcourut toute, le second fut suivi d'un flot de foutre chaud qui s'étala sur son menton avant de s'égoutter sur le devant de son élégant tailleur.
C'est alors qu'elle entendit ce démoniaque bâtard exploser de rire alors qu'il ironisait :
Sa chatoune fourmillant follement, ses nichons gonflés et enflammés au simple contact avec la dentelle de son soutien-gorge, Christine était abasourdie alors qu'un flot de foutre continuait à s'étaler sur son menton et son tailleur définitivement souillé.
Il lui empoigna alors l'épaule et l'emmena vers la chambre.
Poussée à plat dos sur le grand lit, Christine se mit à trembler comme une feuille en voyant son suborneur noir se débarrasser de son gilet et de sa chemise blanche révélant son torse musclé.
Elle ne pouvait que rester allongée sur le dos haletante, alors que ses mains calleuses glissaient sous l'ourlet de sa jupe pour attraper la ceinture de ses collants et de sa petite culotte de dentelle.
- Oohhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ooooooooooooooooooooooooh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Couinait-elle en sentant ce salaud de chauffeur enfouir son visage entre ses cuisses parcourant d'une langue avide les re^lis de sa fentine épanouie.
Jamais Christine n'avait ressenti de telles sensations de toute sa vie, et, à l'instant même ou ses lèvres s'emparèrent de son petit clito dardé, elle tendit les mains pour agripper sa tête et la presser contre ses lèvres gonflées, plantant ses talons dans le lit elle s'arqua pour mieux s'offrir à ses caresses alors qu'elle miaulait :
- Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Mon Dieuuuuuu... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh...
Un orgasme fracassant fit tressauter son petit corps, puis elle s'amollit totalement, relâchent sa prise sur sa tête elle laissa retomber ses bras sur le lit.
Dans la demi-heure suivante, Christine se tétanisa encore à deux reprises pieds plantés sur son lit et doigts agrippant fermement sa tête pour la presser contre son pubis.
A chaque fois un incroyable orgasme la terrassa qui se termina alors que son suborneur se régalait de son jus intime qui avait inondé sa foufoune.
Installée en position assise, elle le sentit dégrafer la fermeture de son dos, puis le vêtement se desserra alors qu'il descendait la fermeture éclair dorsale.
Apparemment la patience n'était pas son fort, il jura sourdement :
Quelques secondes plus tard il empoigna le col de son tailleur et il lui arracha son élégante et coûteuse tenue.
Sa situation la heurta alors qu'elle cherchait à ramper sur le lit dans une vaine tentative de fuite.
Le colosse noir ne s'en inquiéta même pas, il agrippa les bretelles de son soutien-gorge et les déchira facilement, Christine tremblait de peur alors que son agresseur se dépouillait lestement de son pantalon le laissant choir sur le plancher.
Le cœur battant la chamade alors qu'elle tremblait de peur, elle gisait nue comme un ver sur le grand lit, les yeux rivés sur la protubérance noire qui croissait entre les cuisses de son agresseur noir.
Elle ne pouvait ignorer ses intentions maintenant qu'il s'était esclaffé :
Bien que la cantharide maintienne son excitation à un haut degré, bien que son esprit ayant repris pied dans la réalité avait bien du admettre toutes ces viles actions auxquelles elle s'était livrée avec son démoniaque "amant", le laisser disposer à sa guise de ses charmes lui semblait totalement hors de propos.
Une nouvelle tentative de fuite en rampant sur le lit s'avéra tout aussi inutile que la première il la rattrapa facilement d'une poigne puissante et la ramena tout contre son corps.
Elle lutta futilement alors qu'il s'installait confortablement sur elle la clouant sans vergogne sur son lit.
Sa bite parcourant lentement sa fentine gonflée la faisait trembler d'appréhension.
Le puissant aphrodisiaque agissait toujours, elle se rendait compte qu'elle avait besoin de se faire fourrer par une épaisse mentule, mais elle se refusait à accepter son sort.
En fait de gouverneur de l'état, Kyle Caldwell se conduisait maintenant en quelconque mateur qui se tiendrait dans l'entrée de la chambre la bite raide en main.
Comme le corps musclé de Bubba recouvrait entièrement celui de sa ravissante petite femme, il ne pouvait voir que ses jambes battant l'air et ses orteils pointés vers le plafond.
Il vit Bubba relever ses fesses, les crisper frottant son gland dans sa fente offerte à ses appétits.
Il avait maintenant les deux mains posées sur les hanches de sa moitié, il le vit soudain prendre son élan et plonger brutalement sa vigoureuse verge dans sa foufoune investie alors qu'elle s'époumonait :
Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
Sa chatoune distendue comme jamais elle ne l'avait été, Christine fut poignardée par un élancement douloureux qui se répercuta dans tout son corps.
Un second coup de boutoir logea une bonne vingtaine de centimètres de sa grosse mentule dans sa chagatte, il l'a pénétré 5 bons centimètres plus profondément qu'on ne l'avait jamais pénétrée, sa cramouille se crispait instinctivement sur cet énorme envahisseur.
Il coulissait maintenant impitoyablement en elle, sa chatoune s'avérant amplement lubrifiée par sa propre cyprine. Il ironisa alors :
Elle serrait les dents se refusant à répondre aux assauts enfiévrés de son suborneur, mais sa foufoune n'en avait cure se crispant et se décrispant sur son muscle tendu.
Il vit alors les muscles des cuisses de son adorable femme se tétaniser alors que ses orteils pointaient dans les airs, ses mains se posèrent lentement sur ses biceps qu'elles caressèrent lascivement.
D'après ce qu'il voyait, sa femme si fidèle et naïve participait activement à cette séance de baise sous l'influence de la forte dose de cantharide qu'elle avait absorbée qui dopait ses sens en gommant toute inhibition de son esprit.
Comme Bubba se penchait sur elle pour s'enfouir plus profondément en elle, Kyle vit à quel point sa femme forçait pour élargir sa chatte afin d'accueillir son épaisse colonne noire au fin fond de son utérus.
Bientôt, sa bite bien lubrifiée coulissait à son aise dans sa chatte épanouie. Kyle voyait distinctement la pellicule de cyprine qui recouvrait la bite luisante le piston du chauffeur, elle accompagnait chaque aller et retour dans sa foufoune asservie de feulements rauques :
Puis il vit les doigts manucurés de son adorable petite femme se planter dans les muscles du bras de son "amant" alors qu'elle essayait faiblement de le repousser.
Il était évident qu'ils avaient joui de concert, bien sur sans utiliser de préservatif, Christine était consciente des risques que lui faisaient encourir cette occurrence ! Elle craignait déjà de se voir engrosser par la semence de ce salopard de noir !
Quelques instants plus tard, Kyle observa attentivement les flots de foutre qui s'échappaient de la foufoune béante de sa femme au point d'union de leurs deux sexes, à cette vue il imaginait la dose de foutre qui emplir jusqu'à la gorge ses profondeurs fertiles !
Lorsqu'il extirpa sa grosse bite ébène, Christine sentit son maître-chanteur repousser ses jambes arrière, posant ses pieds bien à plat sur le lit avant d'ouvrir ses cuisses en grand.
Il l'entendit alors éclater de rire alors qu'il ironisait :
Christine avala sa salive avec honte, sans même réaliser que ses propos étaient enregistrés !
Elle avait accédé à toutes ses demandes perverses, avait sucé sa bite, et avait couché avec lui, elle se demandait encore quel prix elle devrait acquitter pour s'assurer de sa discrétion.
Mais la démangeaison entre ses cuisses s'était quelque peu calmée pour l'instant.
Après une bonne session de levrette alors qu'il enfouissait sa grosse pine ébène au fin fond de sa chatoune asservie, son maître-chanteur lui avait enjoint de prendre une douche.
Une fois sortie de la douche Christine retrouva son mari paisiblement endormi dans leur lit elle en conclut qu'avant de rejoindre sa chambre adjacente à la leur, il l'avait guidé du bar au lit.
Christine savait que désormais elle devrait mettre fin à son travail au sein de l'association anti-porno, encore ne se doutait-elle pas que ce n'était que le début de son calvaire qu'allait lui faire endurer Cecil Benson, le démoniaque patron de l'industrie locale du porno qui avait l'intention de lui montrer ce qu'était la vie d'une bonne pute aussi disponible que docile se faisant baiser à tour de bras dans toutes les positions !
18/juillet 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Black Demon
blackdemonstories@yahoo.com
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