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B�atrice : Engagement
Chapitre 6 : d�but en tournoi
Je fus r�veill�e le matin par une rude fess�e.
- Qu�est ce que tu fous salope ! Tu es une vraie fain�ante !
- Qu�est ce qu�il y a maitre demandais-je en pleurant sous la fess�e brutale et inattendue.
- Cela fait un moment que tu devrais �tre debout !
- Mais je ne savais pas maitre�
- Il faut que tu t�int�resses un peu � ta carri�re ma petite ! Je ne vais pas tout faire pour toi ! Tu joues � 11H et il est d�j� 8H !
- On a le temps maitre non ?
- Tu plaisantes ! J�aime bien prendre mon petit-d�jeuner pas trop tard !
- Il n�est que 8H maitre�
- Oui mais tu n�as encore rien pr�par� !
- Je dois faire le petit-d�jeuner ?
- Bien sur ! Tu te crois au Carlton ?
- Je ne savais pas maitre�
- Il serait bon de t�int�resser aussi � ton maitre ma petite !
- Je file vous pr�parer tout ce qu�il faut d�s que vous aurez termin� de me fesser maitre.
- Tu as int�r�t !
Les claques tomb�rent encore quelques minutes sur mes fesses, accentuant mes pleurs. Mon anus �tait toujours en feu suite � la punition de la veille et la fess�e
que je supportais facilement habituellement �tait un vrai supplice.
Les fesses en feu, je filais ensuite � la cuisine. Je poussais un grand hurlement de surprise, de honte, de g�ne, de tout ce que vous voulez�
Je venais de me retrouver nez � nez avec une femme d�une quarantaine d�ann�es, blonde en carr� fris�, aux beaux et grands yeux bleus, grande et athl�tique, aux seins bien ronds.
Elle portait une robe noire et des bottes lui montant aux genoux de la m�me couleur.
- Tiens ! Une nouvelle joueuse ?
- Oui madame. Excusez-moi, je pensais �tre seule�
Je me cachais comme je pouvais avec mes bras et mains pour prot�ger de sa vue mes seins et mon sexe. Cela provoqua son rire.
- J�ai l�habitude tu sais�Tu peux enlever tes mains, cela ne me choque pas�
- C�est moi qui n�ai pas l�habitude madame.
- Appelle-moi madame M�lanie.
- Oui madame M�lanie.
- Et toi ? Comment t�appelles-tu en dehors de ma petite je suppose ?
- B�atrice madame M�lanie.
- Tu m�as l�air d�j� bien ob�issante B�a.
- Le maitre m�a fait comprendre qu�il �tait dans mon int�r�t d�ob�ir madame M�lanie.
- Ah ah ah ! Je devine. C�est pour cela qu�il y a un tel bazar dans toutes mes sauces ce matin !
- Vous savez qu�il�
- T�a encul�e avec un pr�servatif bien �pic� oui ! Bien sur ! Je suis � son service depuis plus de 15 ans.
- Et vous et lui ?
- Je suis son employ�e et occasionnellement nous sommes un peu plus intimes mais je ne suis pas soumise. C�est uniquement quand il a envie de passer un moment avec
une femme d��gale � �gale. Je suis plut�t dominante de nature.
- Mais vous �tes son employ�e !
Je re�us une forte gifle sur la joue droite.
- Madame M�lanie ! N�oublie pas ! C�est une question de respect !
- Excusez-moi madame M�lanie.
- Je suis son employ�e parce que je n�ai pas trouv� de meilleure r�mun�ration ailleurs. Il paie tr�s tr�s bien.
- Vu ce qu�il semble faire chez lui sous vos yeux cela me semble justifi�.
- J�adore tout ce que je vois ! Etre en plus pay�e pour ne pas le dire me parait incroyable !
- Oui madame M�lanie dis-je apr�s avoir re�u une nouvelle gifle pour mon oubli.
- J�ai fait le caf�. Il faut que tu fasses griller une dizaine de toasts. Tu am�nes 2 bols, la cafeti�re, les toasts, du beurre, les confitures sur un plateau,
d�s que tout est pr�t sur la terrasse.
- Bien madame M�lanie.
Je m�empressais de faire griller les toasts, pr�f�rant ne pas risquer d��tre en retard. Mon maitre devait avoir termin� de prendre sa douche maintenant. M�lanie quitta la pi�ce
avec une boite que je ne parvins pas � identifier.
- Pas de sexe pour toi le matin d�un match ma petite, cela te couperait les jambes si tu jouissais trop�
- Oui maitre je comprends dis je en sursautant, ne l�ayant pas entendu arriver derri�re moi.
- Mes toasts sont bient�t pr�ts ma petite ?
- C�est la deuxi�me des 5 fourn�es maitre.
- Ca me laisse le temps alors, vite fait bien fait !
Je hurlais de douleur alors qu�il me perforait le cul de sa queue. Je ne m�y attendais pas et il avait profit� du fait que je m��tais pench�e en avant pour v�rifier
la cuisson des toasts. Il remua comme un fou en moi, me tenant les hanches et me pilonnant de sa queue bien dure et bien grosse. Ce fut une vraie torture que je supportais
en silence pendant la cuisson de tous les toasts. Lorsque je mis les derniers � griller, mon maitre s�agrippa � mes seins des deux mains pour m�enculer plus fortement et plus
rapidement.
Je crois que je fus la plus soulag�e des deux de le sentir gicler dans mon cul et cesser de bouger en moi. M�lanie entre temps �tait revenue dans la pi�ce pour ranger sa boite.
Elle avait profit� du spectacle de mon maitre m�enculant avec grand plaisir et s�empressa de lui sucer la queue alors qu�il sortait de moi. J��tais toujours pench�e en avant
sur le plan de travail en train d�essayer de minimiser mentalement la douleur en provenance de mon anus lorsque M�lanie me prit par les cheveux pour me gifler m�chamment les joues.
- Tu vas bouger ton gros cul de feignasse ! On t�attend pour d�jeuner !
- Excusez-moi madame M�lanie. J�am�ne tout imm�diatement.
- Il est temps !
Mon maitre lui offrit son bras pour l�emmener galamment dehors. Je vis alors qu�il avait rev�tu un surv�tement blanc tr�s �l�gant. Je les suivis plusieurs pas en retrait d�eux,
toujours aussi nue, sortant sur la terrasse � l�arri�re de la r�sidence, heureusement � l�abri des regards de la rue.
Je fis le service et me pris une nouvelle fess�e pour avoir oubli� le lait. Je subodorais que M�lanie avait omis ce d�tail pour que je sois punie. Il allait falloir que je me
m�fie d�elle. Elle aimait visiblement vraiment dominer et voir les autres souffrir. Une fois le lait servi, mon maitre m�ordonna de regagner le sol en position � 4 pattes.
La position �tait d�j� humiliante devant mon maitre mais il �tait maintenant accompagn� de son employ�e. Cela augmentait toutes mes sensations de honte et d�excitation.
- Allez mange !
- Pardon madame M�lanie ?
- Quand je suis l�, c�est moi qui m�occupe des b�tes !
- Oui madame M�lanie mais�
- Je t�ai servi � manger, ta gamelle est l� !
Elle pointait du doigt un endroit situ� au bout de la terrasse et tr�s visible de la rue. J��carquillais les yeux inqui�te mais je savais risquer une punition s�v�re si
je n�ob�issais pas aussi me r�signais-je.
Je d�couvrais inqui�te un ensemble d��cuelles. L�une d�elle �tait �tiquet�e Val�re, ce qui m�inqui�ta aussit�t. Ce gros chien ne venait tout de m�me pas manger ici tous les matins.
A cot� se trouvait une �cuelle marqu�e � son pr�nom. Entre leurs deux �cuelles tr�nait une grande casserole pleine d�eau. Je m�empressais de laper de l�eau,
n�ayant pas envie de devoir boire apr�s Val�re. Une fois ma soif �tanch�e, je me penchais sur mon �cuelle. Elle contenait son lot de croquettes pour chien au b�uf.
Pas le meilleur des d�jeuners mais � d�faut d�autre chose, c��tait mieux que rien.
L�odeur du caf� chaud et des toasts �tait une vraie torture. Que n�aurais-je pas donn� � ce moment l� pour pouvoir me r�galer ainsi !
Je poussais un cri de surprise et de douleur alors qu�un chien faisait atterrir ses pattes sur mon dos. Je vis sa gueule venir se placer pr�s de mon visage et reconnut Val�re.
Je n�eus pas le temps de r�agit ou de crier que d�j� en deux coups de reins, il �tait en moi, grossissant et s�allongeant, commen�ant � me saillir. J�entendis M�lanie s�exclamer
que j��tais la pire des salopes qu�elle ait jamais vu et ajouter ensuite � l�adresse de mon maitre qu�il avait gagn� le gros lot. Leurs rires m�accompagn�rent toute la dur�e
de ma saillie.
Je me dis que j�avais eu de la chance, Val�re �tant entr� dans mon vagin et non dans mon anus. Je ne pense pas que j�aurai pu supporter d��tre encul�e par lui alors
que mon anus �tait si douloureux. Val�re poussa de forts grognements � mon oreille alors qu�il poussait une derni�re fois si fortement qu�il me fit hurler. Son gland for�ait
mon col de l�ut�rus. Il jouit en moi � flots et je sentis que malgr� sa boule form�e � l�entr�e de mon vagin, le sperme s��chappait pour couler sur la terrasse.
J�entendis alors plusieurs coups de klaxons. Pour ma plus grande honte, je m�aper�us que des conducteurs saluaient le spectacle que nous offrions en ralentissant pour bien mater
le couple h�t�roclite que nous formions Val�re et moi.
Soulag�, Val�re sortit de moi m�arrachant un nouveau cri de douleur, sa boule meurtrissant mes chairs intimes, ses griffes m��corchant le dos. La queue toujours bien band�e et
pendante sous lui, il but � grands coups de langue dans la casserole avant de manger dans son �cuelle comme un glouton. Je ne bougeais pas de ma place, encore sous le choc de
la saillie inattendue et de la honte d�avoir �t� aper�ue pendant celle-ci par des inconnus.
J��tais plong�e dans mes pens�es quand je me pris un coup de martinet sur la chatte. M�lanie me prit par les cheveux et m�ass�na plusieurs coups en plein centre de mon intimit�,
me faisant hurler et pleurer de douleur.
- Qu�attends-tu esp�ce d��go�ste ?
- Mais mad�
- Ce male t�a honor� et tu le laisses ainsi sans le nettoyer !
- Je m�excuse m�
- Tais-toi ! Sale b�te sans reconnaissance ! Nettoie-le de la langue au lieu de parler !
Elle ponctua ce dernier ordre par un nouveau coup mal plac� pour moi. Terroris�e par ce petit tyran, je m�empressais malgr� mon d�gout de filer l�cher et sucer la queue de Val�re.
Il fallait que je m�habitue � son gout. Mon maitre et son employ�e avaient tous les deux cette volont�, je ne pourrais pas m�y opposer. Autant essayer de m�accommoder
au mieux de cela. Jamais je n�aurai cru que prendre un nouveau coach pour jouer au tennis me ferait plonger � ce point dans le vice�
Je passais donc le quart d�heure suivant sous le ventre de Val�re, � m�occuper de sa queue, r�guli�rement humili�e en entendant les coups de klaxons des voitures passant devant
la r�sidence.
Val�re, une fois son �cuelle termin�e, partit sans m�me un regard pour moi. Je fus alors de nouveau prise par les cheveux, plus fermement cette fois. Je compris aussit�t
qu�il s�agissait de mon maitre. Il me traina le long de la terrasse pour m�emmener au milieu de la pelouse, face � la grille, on ne peut plus visible du dehors. Il me plaqua
la t�te � terre et posa son pied sur ma nuque avant d�enchainer les coups de martinet sur ma croupe. Heureusement, il ne ciblait pas mon intimit� comme M�lanie mais
malheureusement, il frappait bien plus fort.
- J�ai dit pas de sexe avant un match sale petite obs�d�e !
- Mais maitre ce�
- Tu es une femelle en chaleur !
- Mais c��
- N�accuse pas ce pauvre chien que tu as excit� !
- Je n�ai rien f�
- Tu devrais avoir honte d��tre tout le temps en train de mouiller comme �a !
- Mais je ne peux pas control�
- Il va falloir que cela te passe !
- Je ne peux r�
- Et tais-toi ! Je ne veux pas t�entendre !
Les reproches et les coups continu�rent un petit moment. Bris�e et en larmes, je ne bougeais plus, t�te au sol et cul en l�air, sans force quand il se d�cida enfin � arr�ter.
Mes cris reprirent presque aussit�t. M�lanie �tait arriv�e avec le tuyau d�arrosage et me douchait abondamment � l�eau froide. Elle c�da la place � mon maitre et s�approch�t
de moi pour me frotter avec du gel douche. Pour la premi�re fois, ce fut plaisant d��tre entre ses mains. Elle m�amena au bord du plaisir avec des caresses savantes sur
mes seins et t�tons puis au niveau de mon anus et de mon clitoris. J��tais essouffl�e et ondulant sans cesse pour m�offrir au mieux � ses mains quand elle m�abandonna � nouveau
au jet d�eau en riant de mon �tat.
L�eau froide et la honte me firent atterrir rapidement. Elle me frotta ensuite fortement tout le corps avec une serviette et me donna des dessous ainsi qu�une tenue
compl�te de tennis woman sans aucune marque apparente. Les chaussures aussi �taient d�sigl�es.
Mon maitre avait sorti sa voiture pendant mon habillage. M�lanie lui apporta un sac contenant les raquettes, un autre de sport puis une valise ainsi que l�ensemble de mes affaires.
Je le vis mettre le tout dans son grand coffre.
- Tu penses revenir quand ?
- Si tout va bien, dimanche ma belle.
- �a je sais bien mais tu estimes raisonnablement que ce sera quand, que je pr�vois les produits frais en cons�quence ?
- Elle n�a pas encore le physique n�cessaire. Elle a deux rencontres aujourd�hui. Elle doit les passer d�apr�s ce que j�en ai vu. Demain aussi mais elle devrait
s��crouler mercredi je pense. Donc pr�voit d��tre l� mercredi soir. Dans le cas contraire, je t�appelle.
- Et tu la vires sinon ?
- Oui je ne vais pas m�encombrer d�un boulet !
- Tu as entendu la chienne ? Il va falloir montrer que tu peux bouger ton cul aussi sur un terrain de tennis, pas juste dans un chenil !
- Oui madame M�lanie je r�pondis honteuse et rouge de honte.
- Je l�aime bien celle-ci ! Fais ton max ma petite, j�aimerais bien te revoir ce mercredi soir ou m�me plus tard�
- C�est gentil merci madame M�lanie.
Avant que je n�aie pu bouger, elle s�avan�a rapidement vers moi et me tenant avec une main sur chaque joue, elle m�embrassa passionn�ment, m�enfon�ant sa langue jusque la gorge.
- Si le maitre t�a conserv�e tout un week-end, c�est que tu es bonne ! Et pas que sexuellement, pour �a il m�a ! dit M�lanie en riant. Alors l�che toi ma belle,
tu as tout ce qu�il faut pour �tre une championne de haut niveau sinon je n�aurai jamais fait ta connaissance. Ai confiance en toi ! Tu as un joli minois et un petit cul
qui me plait bien !
- Merci madame M�lanie, je vous aime bien aussi.
Je ne pus m�emp�cher et lui sautais au cou � mon tour pour l�embrasser. Je me rendis alors compte que je n�en avais s�rement pas le droit et me reculais pr�cipitamment.
- Quand tu es habill�e, tu as le droit ma belle, ne retiens pas tes �lans envers moi si tu en as ! Mais sache que je n�ai accord� cette faveur qu�� bien peu de monde.
- C�est la seconde tout de m�me M�lanie ! dit mon maitre.
- C�est peu deux seulement sur la dizaine que j�ai vue�
- Et combien sont revenues sur la dizaine ?
- Trois.
- Seulement trois ?
- Il faut que tu gagnes trois matchs pour �tre la quatri�me � revenir.
- Et sinon ? Je suis punie ?
- Non. J�ai tes affaires dans le coffre. Tu rentres direct chez toi. Tu seras punie ici mercredi soir si tu as perdu.
- C�est la premi�re fois de ma vie que je souhaite �tre punie�
- Cela te motivera !
- Oui maitre. Je peux alors demandai-je timidement � M�lanie ?
- Bien sur !
Elle m�ouvrit ses bras et je me lovais entre eux pour �changer un baiser tout aussi passionn� que le premier mais plus doux�
- Puis-je venir avec vous ?
- Pardon ?
- J�aimerais venir au tournoi avec vous�
- M�lanie, j�ai besoin de toi ici !
- Je fais ce qu�il faut et je vous rejoins ce matin d�accord ?
- Tu ne viens jamais !
- Il y a des premi�res fois pour tout !
- Tu es amoureuse toi !
- Non ! Je ne suis pas lesbienne ! Je l�aime bien c�est tout�
- Bon accord� mais si elle perd avant mercredi, je consid�rerai que c�est toi qui l�aura perturb�e et tu en paieras les cons�quences !
- J�assumerai.
- Bien.
Mon maitre m�emmena par le coude et me fit monter dans sa voiture. Nous pr�mes alors la route, direction Amiens pour mon tournoi.
- Tu sais que c�est la premi�re fois que je la vois comme cela avec une de mes prot�g�es�
- Je l�aime bien.
- J�ai remarqu� !
- Vous avez eu combien de prot�g�es d�j� ?
- Tu veux des statistiques ?
- Oui.
- Pr�cises ? Tu ne vas pas t�offusquer ?
- J�ai le droit ?
- Oui comme l�a dit M�lanie, quand tu es habill�e, il n�y a pas de hi�rarchie autre qu�amant-maitresse ou coach-joueuse.
- Alors oui, cela m�int�resse de savoir.
- J�ai eu plusieurs centaines de contacts sur internet.
- Bah ! Ca ne compte pas �a !
- Je veux dire authentifi�s, avec de vraies joueuses de tennis.
- Ho ! Tant que �a ?
- Oui, c�est que tu ne t�es jamais int�ress�e aux coachs sans quoi tu m�aurais reconnu.
- Et vous en avez vu combien ?
- J�ai jou� avec pr�s de 200 sur le net, des jeux comme ceux que tu as fait avec moi au d�but � distance.
- Cela a du �tre la routine pour vous alors quand vous m�avez vue ?
- Oui et non ! Vous �tes toutes diff�rentes !
- Et combien sont venues vous retrouver ?
- Tu es la quatre-vingt quatri�me.
- H� b� ! j�ai l�impression d��tre juste une de plus comme cela�
- Mais non ! tu n�es que la trente-deuxi�me � avoir pass� la nuit du samedi chez moi.
- Vous avez �liminez les autres parce qu�elles ne voulaient pas de Val�re ?
- Non ce n�est pas un crit�re d��limination.
- J�ai le droit de refuser ?
- Certainement pas ! Plus maintenant !
- Mais j�aurai pu ?
- Bien sur ! Et vous m�auriez conserv�e ?
- Oui sur ce que j�ai vu de tes capacit�s tennistiques oui !
- M�me sans coucher avec moi ?
- M�me en n�ayant pas d�autres contacts avec toi que celui de ta main pour te dire bonjour.
- J�aurai du refuser alors !
- Tu serais pass�e � cot� de beaucoup de d�couvertes que tu aimes !
- C�est vrai, je l�admets m�me si je dois �tre toute rouge de honte.
- Tu es pivoine en effet.
- Vous avez couch� avec combien des � trente deux � ?
- Avec 6. Tu es la sixi�me.
- Et seulement 10 ont rencontr�es M�lanie le lundi ?
- Pour �tre pr�cis tu es la douzi�me.
- Et seulement 3 pour le moment sont revenues le mercredi ?
- Oui ! Le premier tournoi est un cap difficile. Aucune n��tait une championne, comme toi. Tu n�as jamais gagn� un tournoi comme Amiens non ?
- En effet ni m�me gagn� 3 matchs de suite dans un tel tournoi !
- C�est pour cela que tu vas devoir aller au-del� de ce que tu fournis habituellement, que ce soit physiquement ou mentalement.
- Et M�lanie ? Elle en a embrass� combien des 11 pr�c�dentes ?
- Elle n�a pas menti. Tu n�es que la seconde. Mais tu es la seule pour laquelle elle ait sollicit� le droit de venir assister � ses matchs.
- Vous avez parl� de cons�quences ?
- Oui.
- Vous n�allez quand m�me pas la punir si je perds ?
- Non. Si tu perds mercredi ou plus tard, cela n�arrivera pas !
- Et si c�est avant.
- Un mois de souffrances.
- Quel genre ?
- Suspendue chaque jour par les bras au dessus du sol et fouett�e pendant une heure.
- C�est injuste !
- Ce n�est rien ! Ensuite le reste du temps, mise � disposition des cochons chez Raymond et Maryse ainsi que de Val�re.
- C�est atroce ! Je refuse.
- Tu ne peux rien refuser ma petite. Tu peux juste gagner pour elle si tu veux�
- Et elle a d�j� subi cela ? Pour la premi�re ?
- Non ! Elle n�est jamais venue. Elle n�a jamais voulu risquer cela avant toi.
- Mon dieu ! C�est une trop lourde responsabilit� pour moi !
- Tu dois assumer. Pour elle et pour toi�
Le silence se fit dans la voiture jusque notre arriv�e. J��tais sous le choc de ce que je venais d�apprendre.
Une fois arriv�e, mon coach et maitre s�occupa de toutes les formalit�s. Tout le monde semblait le connaitre et certains m�me le regarder avec respect ou enthousiasme,
comme des fans.
Je vis aussi quelques joueuses qui passaient et me fusillaient du regard, comme si elles avaient souhait�es �tre � ma place, �tre sous sa tutelle. Je me disais en moi-m�me
qu�elles ignoraient le prix � payer.
Nous r�uss�mes � nous isoler sur un court pour l��chauffement et je pus �changer quelques balles avant mes grands d�buts dans ce tournoi. Mes fesses me picotaient
encore suite aux diverses corrections re�ues et mon anus me faisait souffrir. Je me dis que je n�avais jamais eu un tel handicap avant de jouer un match.
Je finis par entrer sur un court annexe pour disputer mon premier match du jour. Sabine S. �tait impressionnante physiquement. Petite mais r�bl�e, avec des cuisses �normes
et des �paules de nageuse, elle d�gageait une impression de force et semblait certaine de ne faire qu�une bouch�e de moi. Je n��tais pas loin de lui donner raison.
Seulement, je ne jouais pas que pour moi. C�est ce qui m�emb�tait le plus. Apr�s ce week-end avec mon maitre, j��tais persuad�e qu�il ne m�avait pas mont� un bateau avec M�lanie.
Il �tait s�rieux et elle allait payer pour moi si je ne gagnais pas.
Mon adversaire commen�a par gagner le tirage au sort et servit la premi�re. Elle ne fit d�ailleurs que servir. Les deux premi�res balles me laiss�rent � plus d�un m�tre.
La troisi�me faillit me percuter de plein fouet. Sur la quatri�me, je fus un peu plus fi�re de moi, r�ussissant � la toucher mais mon retour frappa le bas du filet. 1-0 pour elle
en une minute � peine. Cela commen�ait mal�
Nous �change�mes nos cot�s et je gambergeais. Qu�est ce que je faisais l� ! Ce n��tait pas de mon niveau ce tournoi ! Je tentais de servir de mon mieux mais mon anus me lan�a,
la douleur remontant dans mon ventre alors que je claquais la balle. Rapidement, je perdis mon service et elle s�amusa � passer � nouveau le sien. Heureusement qu�il y avait
le temps de faire une petite pause � un et trois jeux. Ainsi le match durait depuis 6 minutes et je n�avais pas encore marqu� un point et � peine retourn� une balle.
Sabine S. �tait au sommet de ses certitudes et moi au fond du gouffre. Je jetais un �il dans les gradins clairsem�s. Heureusement, il y avait peu de monde pour voir mon humiliation.
Je n�osais pas regarder mon coach mais ses gestes attir�rent mon regard. Il me faisait signe de respirer � fond et de me d�tendre. J�avais peur qu�il soit en train de
fulminer apr�s moi mais non. Il essayait de me conseiller alors que j��tais une v�ritable incapable.
Je reprenais place sur le court en me concentrant. Il me l�avait dit en m��chauffant, il fallait que je l�use, que je la fasse jouer et pas que je cherche � faire comme elle.
Je r�ussis � passer une premi�re balle correcte.
Elle me retourna un boulet de canon mais je ne cherchais plus � faire comme elle et m�appliquais cette fois � exp�dier la balle dans le court � l�oppos� de l�endroit
o� elle se trouvait. Elle refrappa comme une folle dans la balle mais j��tais bien plac�e et commen�ait � lui faire jouer � l�essuie-glace, ce qu�elle me rendit bien.
Ce fut le premier point que je gagnais dans ce match. Elle finit par s��nerver et appuya trop une balle qui sortit assez loin du terrain. Cela me donna confiance.
Le petit geste du pouce de mon coach aussi me fit du bien. Et les bisous envoy�s � pleine brass�es par M�lanie qui venait d�arriver achev�rent de me convaincre que j�allais gagner.
Comme quoi, un rien peut vous aveugler�
Un simple point et quelques encouragements � 0-3 et 15-0 et je me voyais victorieuse.
Cela arriva pourtant. Je m��tais d�cid�e � appliquer les conseils de mon coach, prodigu�s � l�entrainement. Jouer long, la bouger, assurer mes coups pour la laisser s��nerver seule.
Il m�avait dit que c��tait une adversaire facile pour moi mais j�avais eu du mal � le croire. L�assurance changea ainsi de camp, lentement mais inexorablement.
Je parvenais � marquer mon service et � la g�ner jusque 3-5. Le miracle ne provint pas de moi mais de cette assurance qui s�effritait. Elle m�offrit le jeu suivant en faisant
deux doubles fautes et en sortant deux balles faciles sur lesquelles je m��tais loup�e. Trop heureuse, je restais concentr�e et l�emportais au tie-break par 7 points � 4.
Mon coach me sourit apr�s le gain de cette premi�re manche et M�lanie �tait debout en train de m�applaudir. J��tais toute rouge de honte et de g�ne, estimant ne pas m�riter
autant d�enthousiasme de sa part en raison de mon pi�tre niveau. De plus, elle �tait la seule � m�acclamer�
Le deuxi�me set fut plus simple. Sabine �tait si furieuse d�avoir perdu un set contre moi, qu�elle se mit � pilonner de tous les cot�s et sortit de plus en plus de balles.
J�eus la sensation d��tre juste l� pour lui donner une balle dans laquelle taper n�importe comment. J�avais presque honte lorsque le match se conclut � 7/6 6/1 pour moi.
Mon coach apparut aussit�t � mes cot�s pour m�emmener au massage. Il avait pay� pour que j�aie le droit � ce privil�ge et cela me fit le plus grand bien. Je me sentais
mieux que jamais et pr�te � rejouer l�apr�s-midi�
M�lanie � ma sortie m�embrassa en me soufflant qu�elle aurait aim� me rejoindre l� sous la douche mais que l�on se rattraperait le mercredi�
Mon maitre me poussa dans mon vestiaire pour que je file me laver et me changer avant d�aller d�jeuner, non sans me masser et me p�trir avec tendresse les fesses�
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'h�sitez pas � m'�crire french_master@hotmail.fr
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