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Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 3
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.
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Chapitre 3 :
Mardi : soir�e chez nos amis, � premier transports � en bus et seconde journ�e au boulot�
Anne ouvrit la porte, nous allions entrer mais elle nous a coup� dans notre �lan.
- Enlevez vos v�tements avant d'entrer ! nous intima-t-elle autoritairement.
- Dor�navant vous ne viendrez plus chez nous habill�s, � moins que nous vous le disions !
Elle nous parlait amicalement, d'une voix aimable, mais elle nous donnait un ordre, comme un adulte parlant � des gosses de quatre ans.
Nous avons tous deux opin� de la t�te et nous nous somme d�v�tus prestement nous tenant dans la lumi�re brillante de l'entr�e.
J'entendis des voitures qui roulaient sur le boulevard s'arr�ter, mais je n'avais pas le courage de me retourner pour regarder.
Anne nous permit enfin d'entrer nos v�tements � la main.
On jeta nos fringues sur une chaise comme elle nous l'enjoignit puis on la suivit dans la salle de T�l�.
Roy s'y tenait d�j� discutant avec les deux hommes qui avaient film� la s�ance de la veille.
Roy nous d�signa les deux verres de cocktail pos�s sur la table et nous intima de les boire.
Dave le pria de ne pas nous faire boire ce breuvage, il se contenta de nous regarder en souriant, il savait que nous allions finalement lui ob�ir.
J'avais les yeux plains de larmes en prenant un des verres que je vidais cul sec.
Je suppose que c'�tait la m�me boisson que nous avions sirot� tout le week-end.
Mais, sans le parfum fruit� de camouflage, cette potion s'av�rait terriblement am�re.
Nous nous regardions dans les yeux Dave et moi en vidant nos verres avent de les reposer sur la table.
- Ne vous tracassez pas ! intervint Roy
- Juste un verre chaque soir pendant le reste de la semaine !
- Qu'est ce que c'est ? Osais-je demander.
- Que nous avez-vous fait ?
- Ca me parait �vident Donna,� c'est une drogue que mes laboratoires pharmaceutiques ont d�velopp� pour combattre la d�pression, mais qui se trouva voir un effet particulier que je viens de d�couvrir r�cemment en pratiquant les tests d'essais.
- Elle agit sur le propre arbitre le r�duisant � n�ant, il annule toute possibilit� de refuser quoi que ce soit � qui que ce soit, je l'ai m�lang� avec une bonne dose d'aphrodisiaque ce week-end pour vous rendre les choses plus agr�ables.
- Mais en fait, on ne voulait pas vraiment vous faire plaisir, c'est beaucoup plus amusant de vous faire faire des choses que vous r�prouvez de toute votre �me, parce que vous n'avez pas le choix.
- Nous avons appris que l'absorption de sept doses de cette drogue rend ces changements d�finitifs, afin que vous gardiez espoir, je dois vous pr�ciser qu'il existe un antidote que nous vous donnerons certainement lorsque nous serons las de vous.
- Mais d'ici l�, je crains fort que vous soyez oblig�s de nous complaire, d'ob�ir � tous nos ordres et m�me aux suggestions de n'importe qui.
- Vous serez totalement incapables de mettre en oeuvre votre libre arbitre.
- Vous avez certainement remarqu� que les effets de cette drogue diminuaient alors que le jour avan�ait, d'ici la fin de la semaine cela n'arrivera plus.
- Vous avez certainement aussi remarqu� que l'effet de l'aphrodisiaque avait disparu, lorsque je serai de bonne humeur je vous en rendrai une forte dose quand la situation s'y pr�tera...� Mais je pr�f�re savoir que vous ha�ssez ce que vous fa�tes !
Nous nous tenions tous deux stupidement devant eux, alors que Roy et ses deux amis se levaient et se d�shabillaient.
Ils se rassirent tout de suite, Roy et l'un des cameramen �taient assis cote � cote sur le large canap�.
Je regardais l'homme � cot� de Roy ordonner � Dave de s'�tendre � son cot� avec son visage tourn� vers lui.
Je dus faire de m�me avec Roy.
Lorsque je fus �tendue la bouche referm�e sur la virilit� de Roy je sentis mes cheveux frotter contre ceux de Dave.
Anne empoigna la t�l�commande et se tourna vers le grand �cran T�l�, d�s qu'elle appuya sur la touche lecture, le DVD d�fila.
Il concernait la soir�e de la veille, maintenant sans �tre sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, je r�alisais le nombre d'hommes qui m'avaient poss�d�e.
Je ne pouvais pas les compter, ils �taient bien trop nombreux et ils ne cessaient de bouger, je vis aussi que le l�chage de ma chatte engorg�e de foutre n'avait pas �t� la seule d�pravation qu'avait endur� Dave.
Plusieurs hommes s'�taient fait sucer la bite, deux autres l'avaient m�me encul�, je n'�tais pas au courant de ces faits.
Roy la coupa :
- Je suppose que vous vous demandez combien il y avait d'hommes hier soir.
La bouche serr�e sur sa grosse bite, je grommelai que oui.
- Eh bien, j'�tais un peu d�sappoint�, j'avais invit� une bonne centaine de convives, mais il n'en vint que 72�� Certains ne pouvaient pas sortir de chez eux un dimanche soir, d'autres �taient d�j� retenus, mais, pour faire bonne mesure presque la moiti� de mes invit�s te bais�rent � deux reprises... T'�tais follement excit�e ma ch�re Donna, Les gars ont ador� se faire une jeune m�nag�re aussi douce ob�issante...� Tu leur as tourn� la t�te, juste comme tu me tournes la t�te maintenant...� Tends ta main et branle moi lascivement, je suis sur le point de jouir, ne ferrme pas les yeux ! Une cam�ra et braqu�e sur nous et je ne veux pas que tu perdes une miette du document que ces deux gentlemen ont eu du mal � finaliser.
J'entrepris de branler Roy, et en peu de temps il vomit son foutre cr�meux dans ma bouche. C'�tait plus difficile � supporter maintenant que je n'�tais plus sous l'emprise d'aphrodisiaques, l'ignoble potion me br�lait la gorge alors que je me for�ais � d�glutir.
Lorsque Roy fut enti�rement satisfait de ma prestation, il me repoussa et l'autre cameraman m'appela.
Il se tenait � cot� de Dave, la bite d�ploy�e.
Il m'ordonna de m'asseoir sur lui et de le chevaucher sans perdre des yeux l'�cran t�l�.
Comme je montais et descendais sa mentule dress�e, je sentais mes nichons se balancer douloureusement, Roy semblait appr�cier le spectacle.
Il m'ordonna de garder les mains le long du corps.
Roy me demanda s'il m'�tait arriv� quelque chose d'inhabituel aujourd'hui, je dus lui relater ce qui s'�tait pass� avec mon superviseur.
Lorsque j'eus termin� de lui narrer mon aventure ils explos�rent tous de rire.
L'homme qui se faisait sucer par mon mari saisit finalement fermement sa t�te afin de se vider dans sa bouche asservie.
Dave gargouilla un peu, mais se d�brouilla pour tout avaler.
D�s que son suborneur le repoussa, Anne l'appela et lui ordonna de plonger sa t�te sous sa jupe pour lui brouter le minou.
Roy le coupa dans son �lan :
- Non, attends cinq minutes Anne !� On va juste voir le premier enculage de Donna et son premier triple, je serai d�sol� que Dave manque cette s�quence !
Je regardais avec horreur, me souvenant de p�nible, alors qu'un �tranger me lubrifiait soigneusement le trou du cul sous les yeux de la foule des spectateurs avant de forer son trou dans mes fesses.
J'entendais mes hurlements de douleur partiellement �touff�s par la grosse bite qui me b�illonnait.
Le film �tait savamment structur�, il montrait tous les participants alors qu'ils fourraient leurs bites dans ma bouche, mon con ou mon cul.
On voyait le d�but et la fin de chaque action, alors que l'intervalle �tait largement amput� par souci de minorer la dur�e du DVD.
L'orgie dans son entier avait dur� 9 heures, il en existait une version totale en 4 DVD destin�e � la vente, alors que nous regardions une version all�g�e.
Tout en regardant le DVD je m'�tais penchais sur le ventre de Roy dont je su�ais la queue pour lui rendre toute sa vigueur.
Il m'informa qu'il n'avait pas eu l'occasion de m'enculer la veille et qu'il allait le faire tandis que Dave brouterait le minou de sa femme ch�rie.
Nous avons continu� de regarder la t�l�, l'homme sur lequel j'�tais assise, m'ordonna alors de me retourner et de nettoyer sa bite sans quitter des yeux l'�cran.
Tandis que je le nettoyais d'une langue agile, arriva cet instant maudit o� je me suis retrouv�e avec trois bites en moi.
Je tenais la bite de celui que je su�ais en bouche et gardais les yeux riv�s sur l'�cran on l'on pouvait me voir fourr�es par 3 bites �paisses.
Nous �tions tous riv�s � la sc�ne qui se d�roulait sur l'�cran.
D�s que l'orgie reprit, Roy me rappela et me courba sur un grand prie-Dieu et entreprit de s'amuser avec le goulot de mon trou du cul.
Pendant ce temps, Dave �tait install� entre les cuisses d'Anne la t�te sous sa jupe, il lui mignotait la chagatte.
Roy sondait mon trou du cul, tout d'abord en employant juste l'humidit� de ma chatte, puis en utilisant un� lubrifiant.
Lorsqu'il parvint � ins�rer trois doigts dans mon goulot je parvenais � peine � respirer tant j'avais mal.
Il continuait � m'�vaser le goulot distendant impitoyablement mon oeillet annel�.
Puis il se posta dans mon dos et entreprit de forer son chemin dans mon trou du cul r�tif.
Au d�but je pleurnichais, j'avais mal.
Mais comme il continuait impitoyablement � enfouir sa grosse bite dans mon anus cuisant, je me mis � hurler, le suppliant d'arr�ter.
Je le suppliais de sortir de moi, je jurais de faire tout ce qu'il voudrait mais pas �a !
En guise de r�ponse il empoigna mes nibards endoloris et se mit � m'enculer avec une extr�me violence, je hurlais � jets continus.
Il me susurra � l'oreille :
- C'est �a ma ch�rie, hurle pour moi...� Fais-moi entendre ta douleur ! Je n'en ai que plus envie de te casser le trou du cul...� Tous tes trous s'av�rent extra !� Malheureusement je ne peux pas fourrer ma queue dans tes oreilles ! Bordel... On dirait que ton boyau se visse autour de ma bite, quelle sacr�e salope tu fais !
Cela me sembla durer une �ternit�, mon trou du cul finit par s'engourdir, je retrouvais mon souffle.
J'entendis alors u autre cri et me retournant vit qu'un des cameramen enculait sauvagement Dave alors qu'il butinait le gazon d'Anne.
Lorsque Roy en eut fini avec mon trou du cul, l'autre cam�raman prit le relais, puis je leur nettoyais � tous deux la bite.
Puis toujours courb�e sur le prie-Dieu je continuais � regarder l'�cran t�l�.
Je ne pouvais m'emp�cher de jeter des coups d��il sur Dave, il avait fini de brouter le minou d'Anne lorsque son enculeur jouit dans ses fesses.
Il dut alors nettoyer sa bite de la bouche, comme je l'avais fait aux deux autres.
Avant qu'ils nous laissent partir, nous d�mes nous l�cher l'un l'autre, pour nous nettoyer d'une langue agile nos trous du cul engorg�s de foutre.
Je ne pensais pas jouir; et pourtant je succombais sous les caresses de la langue de Dave.
C'�tait mon premier orgasme cette nuit, mais cela ne me r�jouit pas pour autant.
Ils nous donn�rent une copie de l'enregistrement, nous ordonnant de la faire tourner en boucle sur notre TV.
Ils nous pr�vinrent que l'on ferait mieux de ne r�v�ler notre sort � personne, puis ils nous permirent de partir.
Je demandais � Anne si dor�navant nous pouvions utiliser la porte de la cour.
Elle y r�fl�chit quelques minutes et en discuta avec Roy.
Elle se tourna vers nous tout sourire et dit :
- Roy dit que vous pourrez utiliser la porte de la cour la semaine prochaine...� Mais cette semaine vous avez besoin d'apprendre l'humilit� !� Maintenant je vous rappelle soyez ici tout de suite apr�s souper demain soir !� Une derni�re liste d'instructions : vous ne devrez parler de tout ceci � personne, vous ne devrez pas appeler � l'aide votre famille, vos amis, des �trangers ou m�me la police !� Et maintenant foutez-moi le camp !� Rentrez chez vous et pensez � tout le plaisir qu'on va tirer de vous !
Nous avons empoign� nos v�tements et nous sommes ru�s jusqu'� notre porte de maison, heureusement, il faisait sombre et nous n'avons vu personne.
Nous avons fonc� � l'int�rieur et pris une douche ensemble.
Nous nous sommes caress�s longuement apr�s nous �tre s�ch�s et nous avoir lav� les dents.
Nous cherchions un moyen de nous tirer de cette gal�re.
A la fin de la semaine, lorsque leur emprise serait permanente il serait trop tard pour agir.
Je jetais un oeil sur l'horloge et constatais qu'il �tait trop tard pour appeler mes parents. Je d�cidais que ce serait la premi�re chose que je ferai le lendemain matin, je constaterais ainsi l'efficacit� de cette drogue. Lorsque nous sommes all�s au lit je pleurais longuement avant de m'endormir.
Le lendemain matin nous avons repris une autre douche, j'enfilais une autre mini-jupe et un haut totalement inappropri�s dans un bureau.
Je pr�parais le petit d�jeuner, puis je t�l�phonais � ma m�re.
Ma m�re restait au foyer, mais elle se levait t�t pour d�jeuner avec mon p�re. Elle s'inqui�ta tut de suite, je n'avais pas l'habitude de l'appeler si t�t le matin, mais je r�ussis � me calmer l'assurant que tout se passait bien.
De toute mani�re j'�tais totalement incapable de lui exposer la raison de mon coup de fil.
Apr�s avoir discut� de tout et de rien je la quittais pour partir au boulot. Dave �tait d�j� parti. Comme je refermais la porte de devant Anne vint vers moi� et me gourmanda :
- Tu as essay� de nous d�sob�ir, tu as appel� ta m�re pour r�clamer son aide,� aujourd�hui tu prendras le car pour aller au boulot.
Je n'avais jamais pris le bus, je ne savais pas comment m'y prendre.
Je savais qu'il y avait des arr�ts de bus, j'avis souvent vu des gens qui l'attendaient au coin de notre rue.
Je v�rifiais que j'avais de la monnaie et je me dirigeais rapidement vers l'arr�t de bus.
Lorsque j'e vis un planning des bus, mais les destinations ne s'affichaient nulle part, et je ne savais donc pas lequel prendre.
Je pris le premier qui se pointa et je demandais au conducteur comment je pouvais me rendre � mon bureau et il me r�pondit quel bus je devais prendre.
Il se monta tr�s gentil et tr�s patient, il m'expliqua en d�marrant que je devrais changer de bus au boulevard Foster me disant lequel prendre.
Il me dit aussi comment je pourrai rentrer le soir.
Je payais ma place et il me donna un billet me disant qu'il m'appellerait lorsque j'arriverai � destination.
Je me dirigeais vers une place vide et m'assit le long de la fen�tre � peu pr�s 4 rangs derri�re le conducteur.
A l'arr�t suivant trois jeunes voyous mont�rent, ils lanc�rent leur monnaie dans la caisse � cot� du conducteur et vinrent vers moi.
Le plus costaud se tenait devant moi, lorsqu'il me vit son visage se fendit d'un large sourire, il s'assit � cot� de moi et se sera contre moi, ses deux copains s'assirent derri�re nous.
D�s que le bus eut d�marr�, il tra�a un petit cercle de ses doigts sur ma cuisse, comme je ne protestais pas, il descendit sa main sur mon genou et remonta le long de ma cuisse jusqu'� ma chatte nue.
Lorsqu'il r�alisa que je ne portais pas de petite culotte, il tourna la t�te vers ses copains et leur souffla :
- Et les gars, venez donc voir !
L'un de ses copains se leva et se tint dans le passage � cot� de nous alors que l'autre se penchait au-dessus du si�ge.
Tandis qu'ils regardaient avidement, mon voisin retroussa lentement ma jupe sur ma taille exposant ma chatoune aux yeux de ses copains.
Je sentis le rouge envahir mon visage alors que je demeurais assise sans protester, sans d�fense, totalement humili�e.
Ces jeunes gens avaient tout juste 18 ans, les deux comparses me reluquaient alors que leur pote palpait mon mont de Venus chauve.
Je ne pouvais que leur �tre reconnaissante de ne pas attirer l'attention des voyageurs sur ce qu'ils me faisaient subir.
Alors que mon voisin jouait avec ma foufoune le gars se tenant dans mon dos tendit le bras et glissa sa main dans mon corsage et entreprit de malaxer mes nibards.
Je ne pouvais que rester assise et pleurnicher.
Le bus arriva � l'arr�t suivant et j'entendis le chauffeur ouvrir les portes, se lever et venir vers nous en hurlant aux jeunes types de se barrer.
Une fois qu'ils se furent enfuis, le chauffeur me demanda si tout allait bien.
Je recouvris prestement mon entrecuisse et rajustais mon chemisier hochant la t�te, trop honteuse pour le regarder dans les yeux.
Il se pencha sur moi et dit :
- Je suis d�sol�, vous auriez du m'appeler, vous descendez au prochain arr�t, �tes vous sure que tout va bien ?
Je soupirais un timide merci et hochais la t�te toujours incapable d'affronter son regard.
Lorsque l'autobus stoppa � l'arr�t suivant, je courus � la porte centrale et prit une profonde inspiration en quittant le car.
Je me mis imm�diatement � rechercher le bus que le chauffeur m'avait dit qu'il m'emm�nerait jusqu'� mon bureau, ce devait �tre le prochain.
Alors que je grimpais dedans, j'entendis quelqu'un hurler - Elle est ici !
Je jetais un oeil en arri�re et vis les trois jeunes gens qui m'avaient molest�e courir pour attraper le bus, mais ils n'y r�ussirent pas.
D�s que j'�tais grimp�e � bord, le chauffeur avait d�marr�.
Je dis au conducteur o� je me rendais et lui expliquais que je n'avais pas l'habitude de prendre le bus lui demandant de me pr�venir lorsque je serai arriv�e.
Je me rendais compte que tous les hommes avaient envie de faire plaisir � une jolie jeune femme habill�e de fa�on provocante d'un chemisier quasi transparent, il me sourit, hocha la t�te en signe d'acceptation, et je gagnais ma place au fond du bus.
Ce bus, � l'inverse du premier �tait plein � ras bord, tous les si�ges �taient pris et la plupart des places debout aupr�s des sangles de soutien �taient occup�es.
Je trouvais cependant une sangle � laquelle m'agripper et fis de mon mieux pour rester debout lorsque le bus acc�l�rait ou freinait selon le trafic.
Je remarquas que personne ne me regardait et pendant u certain temps j'aurai pu me croire seule dans ce car.
Ce sentiment s'envola lorsque je sentis une main se poser sur mon mollet, un homme assis � cot� de moi me touchait les jarrets.
Je pensais tout d'abord que c'�tait par accident, je voulus le repousser et m'�carter, mais un coup de frein brusque me� fit revenir � ma place initiale.
Comme je restais en place, la main du voyageur assis revint sur ma jambe me caressant as vergogne.
Comme je ne r�agissais pas, il se fit plus audacieux.
Sa main remonta le long de ma jambe, lentement, palpant mes charmes en s'excitant.
Puis exactement comme les trois jeunes gens l'avaient d�couvert plus t�t, il se rendit compte que je ne portais pas de sous-v�tement.
Sa main se pressa dans mon entre cuisse qui �tait l�g�rement �cart�e pour maintenir mon �quilibre, il avait ainsi un acc�s tout � fait libre � mon intimit�.
Il poussa son avantage � fond et ins�ra prestement deux doigts dans ma f�minit�, et les fit coulisser all�grement.
Je fis la seule chose qui m'�tait permise, je fermais les yeux et attendis que le chauffeur m'indiqua l'arr�t o� je devais descendre.
Je ne parvenais pas � comprendre qu'un acte aussi vil, aussi humiliant puisse �tre aussi jouissif.
Si le chauffeur ne m'avait pas inform� de la proximit� de mon arr�t, si j'avais du attendre l'arr�t suivant, j'aurai s�rement joui sous ses profondes caresses !
Et je n'avais toujours pas vu son visage !
Je descendis du bus et me ruais vers mon bureau tout proche.
Je me demandais si on se faisait toujours molester dans les bus.
Je jetais un oeil sur ma montre et r�alisais que j'avais dix bonnes minutes de retard. Monsieur Jefferson allait disposer de la journ�e enti�re pour en profiter.
Je me pr�cipitais derri�re mon bureau et vis que monsieur Jefferson me guettait, je paniquais.
Je posais mon sac et, j'�tais � peine assise que d�j� il m'appelait par le t�l�phone int�rieur.
Je gagnais rapidement son bureau et frappais � sa porte. Il me fit signe d'entrer, il discutait avec quelqu'un au t�l�phone.
D�s que je fus entr�e, il reposa le t�l�phone et se leva.
Je lui demandais d'excuser mon retard, je lui dis que j'avais du prendre le bus ce matin et que je n'avais pas l'habitude de ce mode de locomotion.
Il me fixait, visiblement satisfait de ma tenue, il me demanda :
- Votre voiture est en panne ?� Vous savez que ce n'est pas une excuse valable n'est ce pas ?
- Non-monsieur... R�pondis-je mis�rablement.
- Dans ce cas, pourquoi avez-vous pris le bus ?
J'avais du mal � respirer, j'aurai voulu me trouver ailleurs, j'�tais incapable de lui mentir, je devais lui raconter ce qui m'�tait arriv� !
Je grommelais cherchant d�sesp�r�ment comment lui explique la chose de la fa�on le plus neutre possible, sans lui r�v�ler mon �tat de suggestion.
Finalement je commen�ais :
- Ma voisine m'a fait prendre le bus pour me punir !
A cet instant m�me la porte du bureau s'ouvrit sur monsieur Taylor qui �tait le chef direct de monsieur Jefferson, il ouvrit et referma la porte dans son dos.
Monsieur Jefferson l'invita � s'asseoir puis se tourna vers moi et me demanda :
- Pourquoi� laissez-vous votre voisine vous punir?"
Cette question me plongeait dans un terrible dilemme. Je ne devais ni mentir ni refuser de r�pondre � mes interlocuteurs, mais par ailleurs mes ma�tres m'avaient ordonn� de ne r�v�ler � personne ma triste situation, ni r�clamer de l'aide � qui que ce soit.
Je r�alisais alors que je ne devais attendre aucune aide de la part de monsieur Jefferson, je pouvais donc lui r�pondre franchement.
Je cherchais � organiser mes pens�es et r�pondis mis�rablement :
- Nos voisins nous ont drogu�s mon mari et moi,� et depuis nous sommes tenus � faire tout ce qu'ils veulent, nous n'avons plus aucun libre arbitre, ce matin j'ai voulu appeler ma m�re pour lui demander de l'aide, bien que je n'en ai pas le droit !� Quelle qu'en soit la mani�re ma voisine l'a appris et me punit en m'ordonnant de prendre le bus pour me rendre � mon travail !
Monsieur Taylor me coupa alors :
- Pourquoi pouvez-vous nous parler de vos probl�mes et pas � votre m�re ?
- Parce que je sais que pertinemment que vous ne nous aiderez pas !
Monsieur Taylor me sourit et s'adressant � monsieur Jefferson ajouta :
- Dave je crois que vous avez eu la main dr�lement sure !
Il s'approcha des stores et les ferma, puis il verrouilla la porte.
Il se tourna alors vers moi et me pr�cisa :
- C'est le grand jour Donna, depuis que j'ai pos� les yeux sur tes charmes j'ai envie de te fourrer jusqu'� l'os !� Vire-moi tes frusques, et prends ton temps pour t'ex�cuter !
Ils se regardaient l'un l'autre se souriant cyniquement puis ils se tourn�rent vers moi alors que je d�boutonnais mon corsage et l'enlevais.
Je le posais sur la chaise � cot� de moi puis j'�tais ma mini-jupe, mes chaussures et attendais alors les ordres...
Monsieur Taylor se leva et se d�v�tit prestement posant ses habits sur la chaise.
Puis il eut une soudaine inspiration, il sortit son portable et me fit poser dans des poses obsc�nes le temps de prendre plusieurs clich�s.
Il garda son portable en main m'ordonnant de me mettre � genoux devant lui.
Je me mis en position et pris sa bite en bouche.
Sa bite �tait �paisse, mais pas aussi �paisse que celle de Roy, de ce fait je n'eus aucun probl�me pour la faire glisser dans ma gorge alors qu'il continuait � prendre des photos.
Alors que je su�ais Monsieur Taylor, Monsieur Jefferson inspectait mon cul et ma chatte de ses mains moites.
Monsieur Taylor jouit rapidement dans ma bouche, me traitant des termes les plus grossiers qu'il connaissait !
Je r�alisais que jamais on n�avait du lui� prodiguer de gorge profonde et il trouvait cet acte particuli�rement jouissif.
D�s que monsieur Taylor me repoussa, monsieur Jefferson m'enjoignit de me poster devant le bureau, il s'approcha de moi et me courba en avant de me p�n�trer sans plus de pr�liminaires. Je grognais de douleur et il gloussa de me voir ainsi malmen�e.
Il me prit brutalement, c'�tait plus un viol qu'autre chose. Et, tandis qu'il me violentait, il me parlait calmement me disant combien j'allais devoir leur dispenser de plaisir � l'avenir.
Me traitant de tous les noms, il me pr�cisa que dor�navant j'�tais la pute du bureau ! Je ne pouvais que baisser la t�te alors qu'il grommelait en me baisant de plus belle.
Il me baisa pendant une bonne quinzaine de minutes avant d'agripper fermement les hanches et de me pilonner trois derni�res fois avant de se vider les couilles au fin fond de ma chatoune.
J'attendais qu'il extirpe sa bite de ma fente, puis je m'agenouillais et je lui nettoyais servilement la queue d'une langue habile.
- T'es-tu toujours livr�e � ces actes ? Me demanda-t-il amus�.
- Oui monsieur...� Lui r�torquais-je mis�rablement.
Monsieur Taylor se releva et m'ordonna de me courber � nouveau sur le bureau, sa bite bandait � nouveau,� et il voulait lui aussi go�ter � mon d�licieux petit con.
Monsieur Taylor avait une bonne cinquantaine d'ann�es et �tait morbidement ob�se, je ne parvenais pas � d�cider si je me r�jouirai de le voir frapp� d'une crise cardiaque.
Lorsqu'il eut joui en moi, je nettoyais� sa bite ils me firent alors retourner et d�taill�rent attentivement ma chatte engorg�e de foutre.
Monsieur Taylor commenta alors :
- Son charmant petit con me plait beaucoup ! Mais je ne crois pas qu'elle puisse se rendre aux toilettes le con d�gorgeant de foutre...
Monsieur Jefferson surench�rit :
- T'as raison elle va disperser des gouttes de foutre dans tout le bureau !
Monsieur Taylor reprit :
- Je ne vois qu'une solution ma ch�rie, tu vas r�cup�rer tout ce jus en te servant de tes doigts et les l�cher !
Ils pensaient s�rement m'humilier profond�ment, mais ils ignoraient que j'avais aval� des litres de foutre� ces trois derniers jours, ce qui de ce fait banalisait fortement leur exigence.
Je curais ma chatoune � pleins doigts et les portait � ma bouche pour les sucer l'un apr�s l'autre � plusieurs reprises, cela les satisfit rapidement.
Je pus alors me rhabiller et retourner mon bureau.
Ils m'avaient inform� que je travaillerai une heure de plus ce soir pour compenser mon quart d'heure de retard du matin ainsi que les 45 minutes que j'avais consacr� � satisfaire leurs app�tits lubriques.
J'essayais de me concentrer sur mon travail.
Apr�s un moment je r�alisais que plus je travaillais dur, plus je me concentrais sur mon ordinateur, plus le temps semblait s'�couler rapidement.
Pendant l'arr�t de midi, j'appelais Dave l'avertissant que je rentrai � la maison avec une heure de retard, il me demanda ce qui se passait, mais je ne pouvais pas lui r�pondre entour�e de mes coll�gues qui m'�coutaient distraitement assis � leurs bureaux, je lui dis donc que je lui expliquerai une fois rentr�e � la maison.
Je me concentrais sur mon travail le reste de la journ�e, longtemps apr�s que mes coll�gues aient d�sert� leurs postes. J'avais une heure � rattraper, je pensais que c'�tait profond�ment injuste, mais qu'y pouvais-je ?
Je m'attendais � ce que monsieur Jefferson me rappelle dan son bureau avant que je puisse partir.
En fait je travaillais sur mon ordinateur lorsque le concierge se pointa dans mon bureau, il ne me dit pas un mot, il se contenta de d�boutonner sa braguette, sortit sa longue et �paisse mentule noire d'�b�ne et m'enjoignit alors :
- Suce-moi !
J'�tais si concentr�e sur mon travail que je ne m'�tais rendu compte de sa pr�sence qu'en l'entendant prof�rer son ordre. Je me retournais effarouch�e et vis son �paisse byroute pendant entre ses cuisses.
Je levais les yeux sur lui, il attendait que je m'ex�cute.
Comme je me penchais en avant pour emboucher son membre viril je vis monsieur Jefferson se pencher au-dessus des cloisons de mon bureau me photographiant avec un appareil photo num�rique.
Je sentais la bite du concierge grossir rapidement dans ma bouche, elle fut bien vite aussi grosse que celle de Roy, mais elle n'�tait pas �paisse au point que je ne puisse la prendre en gorge.
Il cria son plaisir � la vue de cette jeune �pouse blanche engloutissant sa mentule au fin fond de sa gorge dans le bureau vide.
Ses cris r�sonnaient dans ma bouche alors que je le su�ais avec enthousiasme comme on m'avait enjoint de le faire, parce que c'�tait la seule voie que je pouvais suivre.
Il semblait d��u lorsqu'il se vida les couilles au fin fond de ma gorge, cela devait faire longtemps qu'il le d�sirait.
Puis, sans un mot il extirpa sa bite de ma bouche, me tapota la t�te et repartit travailler en remerciant monsieur Jefferson au passage.
Monsieur Jefferson s'assit sur mon bureau s'appuyant sur les coudes alors que je lui taillais une pipe, apparemment cela l'avait profond�ment excit� de me voir sucer le concierge.
Il �jacula rapidement, remonta la fermeture �clair de sa braguette et me dit de rentrer chez moi. Il ajouta que je ferai mieux d'arriver � l'heure le lendemain si je ne voulais pas qu'il se f�che.
Je me levais rapidement, pris mon sac dans mon tiroir de bureau et me ruais hors du b�timent o� je travaillais.
Je n'avais pas m�me pris le temps de passer aux toilettes me rincer la bouche, j'�tais bien trop press�e de quitter les lieux.
Je redescendis jusque la station de bus qui me ram�nerait chez moi. Cette fois, je savais quel bus je devais prendre et je poussais un soupir de soulagement lorsque je me retrouvais dans le bus bond� de monde.
J'avais oubli� combien mon trajet all�e avait �t� difficile, mais cela recommen�a rapidement.
Je me trouvais press�e entre de nombreux voyageurs basculant d'avant en arri�re au gr� des cahots du bus, lorsque je sentis une main effleurer mes jambes.
Je soupirais incr�dule.
Cela ne pouvait tout de m�me pas m'arriver chaque fois que je prenais le bus !
Je me rendis compte que je n'�tais pas la seule femme, je vis que d'autres femmes �taient diss�min�es �a et l� dans le bus.
Elles n'avaient pas l'air de se faire molester, �tais-je donc marqu�e ?
Ou �tait-ce parce que mes mamelons �taient visibles au travers de mon chemisier et que ma mini jupe ne couvrait que mes fesses !
Je restais passive alors que la main grimpait� lentement, mais sans trop d'h�sitations, le long de ma jambe.
Comme je ne m'�tais pas retourn�e pour lui claquer une gifle lors du premier attouchement, il devait persuader que cela me plaisait.
�Il ins�ra rapidement deux doigts dans ma cramouille et je commen�ais � m'en r�jouir.
J'aimais tant ce qu'il me faisait que je faillis manquer la station o� je devais changer de bus.
Je descendais rapidement du bus et me tins dans l'obscurit� avec plusieurs hommes, attendant tous le prochain bus calmement.
Un des hommes me fixait indiscr�tement, je pensais que c'�tait en raison de ma tenue.
Mon autobus arriva finalement je grimpais dedans et donnais mon ticket au conducteur.
Je fis le chemin de retour assis le long d'une vitre et me laissais tomber sur le si�ge. Exactement comme ce matin, le bus n'�tait qu'� moiti� rempli.
Aussi fus-je grandement surprise en voyant un homme s'asseoir � cot� de moi, je le reconnu instantan�ment, c'�tait l'homme de la station de bus.
Il me toisa pendant une longue minute, yeux riv�s sur ma poitrine, mes mamelons? Puis son regard descendit jusqu'� mon de culotte, il me sourit et me dit :
- J'ai vu que tu te laissais faire dans le premier bus, j'ai bien vu que ton voisin te caressait intimement et que tu avais l'air d'appr�cier ses caresses !
Je ne dis rien, qu'aurai-je pu lui r�pondre ?
Le conducteur avait �teint l'�clairage interne,� lorsque le bus avait red�marr�, seuls les lampadaires �clairaient faiblement l'int�rieur du bus lorsque l'on passait devant eux, l'�tranger tendit la main et palpa indiscr�tement mes miches, je le laissais faire.
C'�tait la permission de poursuivre qu'il attendait.
Il d�boutonna lentement mon chemisier et se mit � jouer avec mes nibards, avant de tourner son attention sur ma chatoune.
Il laissa bailler mon chemisier et tendit la main pour retrousser ma mini-jupe.
Il fixa des yeux ma chatoune pendant quelques instants, puis il m'enjoignit :
- Tiens bien ta jupe relev�e.
Je tendais la main et saisis l'ourlet de ma jupe lui offrant un meilleur acc�s entre mes cuisses pour explorer ma moule qui s�av�rait d�tremp� apr�s les manipulations subies dans le premier bus.
- Tu aimes �a ? Me demanda-t-il.
- Tu aimes laisser des �trangers jouer avec tes charmes intimes ?
Je r�pondis le plus honn�tement que je le pus :
- Mon corps aime �a !
Il ne savait pas qu'en penser, mais il savait tr�s bien quoi faire, il voulait prendre son plaisir.
Il m'ordonna de poser la main sur sa bite et de le caresser.
J'�tais si impliqu�e dans ce que je faisais que j'oubliais de sonner � la station o� je devais descendre.
Je devais revenir en arri�re � trois quartiers de chez moi, le temps que je rentre, il �tait plus de 18 heures et Dave �tait malade d'anxi�t�.
Nous �tions tous deux trop contrari�s pour souper mais je pr�parais quand m�me une salade, je ne voulais pas que Dave se rende malade.
Lorsque nous soup�mes, je lui racontais tout ce qui m'�tait arriv� depuis ce matin, cela prit un certain temps.
Mais nous n'avons pas pu tergiverser plus longtemps, nous nous sommes d�shabill�s et avons gagn� la porte des voisins, je vis que des gens se promenaient � l'ext�rieur, mais il faisait sombre et je pensais que personne ne devait prendre garde � notre tenue.
27 mars 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
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