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L'EDUCATRICE .
Texte personnel Coulybaca
Tous les jeunes participant physiquement � l�action sont �g�s de plus de 18 ans.
Chapitre 3 : Murielle, l�infirmi�re�
Plong�e dans l'eau chaude et relaxante de son bain, Fran�oise r�fl�chissait : elle ne pouvait nier le plaisir qu'elle avait pris lors de ces copulations successives qui lui avaient �t� impos�es, et, malgr� sa honte et sa r�pulsion initiale, son ventre se souvenait encore, sa t�te aussi, des orgasmes qui l'avaient secou�e .
Cependant elle, qui n'avait jamais tromp� son mari, venait de se plier aux d�sirs de trois adolescents qui l'avaient amen�e, par la force il est vrai, � leur accorder beaucoup plus en trois heures qu'elle n'en avait accord� en 16 ans de vie commune � son �poux, et pourtant elle n'arrivait pas � se sentir honteuse, non ce qui la chiffonnait le plus c'�tait de savoir que Miloud avait maintenant barre sur elle et de ne pas trouver de solution qui lui permit de sortir de ce p�trin : refuser d'acc�der aux d�sirs br�lants de Miloud c'�tait risquer la divulgation de ses saloperies de photos.
Andr� devant un coup pareil demanderait � tout coup le divorce et obtiendrait � coup sur la garde des enfants, qui de toute mani�re se d�tourneraient d'elle.
Apr�s le scandale qui s'en suivrait, plus de boulot, les propositions malhonn�tes des individus qui la prenant pour une fille facile en abuserait, et pourquoi pas pour finir le trottoir.
Se soumettre n'�tait gu�re plus r�jouissant, jusqu'ou Miloud irait-il, jusqu'ou accepterait-elle d'aller.
Malgr� tout, tout ne pouvait �tre mauvais chez ce gar�on, peut-�tre, si elle se montrait particuli�rement gentille et docile, lui rendrait-il ces satan�s photos...
Elle se sentait pr�te aux pires bassesses, � accepter les plus grandes compromissions, s'il lui promettait en retour de les lui rendre.
Elle n'arrivait pas � se d�terminer une conduite, oscillant entre la soumission totale et la fi�re rebellion qui risquait de lui co�ter son boulot, son m�nage et peut-�tre m�me ses enfants.
Enfin ses enfants rentr�rent de la piscine, Francis gentiment l'assura qu'ils avaient �t� des plus sages.
Exub�rants ils lui racont�rent leur apr�s midi, pass�e en grande partie, en compagnie d'un jeune du centre... un gars sympa qui leur avait montr� comment plonger, nager, faire la bombe et mille tours � ex�cuter dans l'eau .
Ce rapport la gla�a, ainsi ils avaient os�s... Leurs menaces n'�taient donc pas vaines... Ils auraient pu...
Avec soulagement elle laissa sa prog�niture se plonger dans une ultime r�vision des cours du lendemain.
Enfin l'�poux rentra de son travail fourbu, renfrogn�, il s'installa devant le poste t�l�, se servit un pastis bien tass� et sans un mot se relaxa en� visionnant d'un oeil distrait la classe sur FR3 .
Elle lui en voulut presque de cette tranquille assurance... Comment ne soup�onnait-il pas... La croyait-il donc si peu attirante ?
La succession monotone des t�ches m�nag�rent la distray�rent de ces pens�es contradictoires, et c'est plus sereine que le soir venu elle s'�tendit aux cot�s de son mari.
Plein de tendresse, il sollicita son corps, elle se laissa prendre sans passion, sa chair et son �me comparant sa pi�tre performance, ce coup vite tir� et la fougue des trois ados qui, l'apr�s midi durant l'avaient si furieusement combl�e .
D�j�, ses sens r�clamaient des �treintes plus brutales, plus cons�quentes...
Le vendredi suivant, elle partit au boulot d�cid�e � repousser Miloud, � 18 ans et demi, encore influen�able, il plierait s�rement si elle se montrait suffisamment ferme
Par pr�caution, elle s'�tait tout de m�me conform�e � ses ordres, n'enfilant sous sa jupe noire qu'un porte-jarretelles et des bas fum�s.
En vue du domaine, elle h�sita longuement puis se d�cida � �ter sa culotte.
Il vaudrait peut-�tre mieux l'amadouer avant de lui faire part de son refus de se plier plus longtemps au chantage.
Elle se rendit directement � la chambre de Miloud, celui-ci l'attendait de pied ferme, allong� sur son lit.
Elle referma la porte, et tout de suite le poster qui en ornait le revers lui sauta aux yeux.
La grande image, la repr�sentait empal�e sur la pine d'un jeune partenaire, la croupe cambr�e, une pine luisante, de bonne taille plant�e dans son anus dilat�.
Les visages d�coup�s des trois protagonistes interdisaient une identification imm�diate, il suffisait pourtant de conna�tre la chambre et le jet� de lit sur lequel se vautrait cette chienne en rut pour la reconna�tre dans cette bacchante �chevel�e.
Miloud sourit ironiquement et lui dit :
- Hein qu'il est beau mon poster...� Ou le tien devrai-je dire... Y en a pas mal qui se demandent qui figure sur la photo... Les suppositions vont bon train... J'en ai tir� deux autres pour d�corer les murs de ma future chambre... Ou pour envoyer � ton mari si c'est n�cessaire... Sur ceux l�, j'ai laiss� les visages !
A ce spectacle et � ce discours, Fran�oise perdit toute sa superbe, muette elle se contenta d'approcher du lit, et sur un bref signe elle se troussa exposant son ventre barr� du porte jarretelles et ses cuisses gain�es de nylon fum�, le tout encadrant et mettant en valeur sa pilosit� exub�rante.
- On a juste une demi heure avant le d�part des cars, presses toi de me sucer, on verra plus tard pour le week-end !� Lui intima-t-il.
Fran�oise se pencha alors sur lui, descendit la fermeture �clair de sa braguette et sortit l'imposante verge de sa prison.
Comprim�e dans le jean, elle avait pris de l'ampleur, Miloud s'�tant excit� furieusement au cours de la mise au point, aussi lui sauta-t-elle au visage d�s lib�r�e.
Avec veulerie elle se mit � l'ouvrage, se pencha sur la bite turgide, enfourna la grosse prune presque violette dans sa bouche, puis glissa ses l�vres tout le long de la longue et �paisse hampe, l�chant le gland avec application lorsqu'il fr�lait l'or�e de sa bouche, elle absorbait la grosse queue jusqu'� la racine, les poils de son pubis lui aga�ant le nez, ses progr�s �taient �tonnants, elle se comportait comme une ma�tresse suceuse bien que ses d�buts dans la pipe fussent si r�cents .
Fouaill�e d'en finir plus vite, craignant l'irruption de qui que ce soit dans la chambre, elle s'acharnait � t�ter la grosse verge qui lui d�formait la bouche.
Miloud ressentait une extraordinaire sensation de pouvoir � contempler cette belle jeune femme, qui en tant normal ne lui aurait accord� que du d�dain, oblig�e de lui t�ter la mentule sans rechigner.
Et ce n'�tait encore q'un d�but, il se promettait de multiples plaisirs avec elle.
Ces id�es augment�rent encore sa fi�vre, le volume de sa verge s'amplifia encore, Fran�oise avait maintenant mal aux commissures des l�vres.
Aux premiers soubresauts de sa lourde �rection, Fran�oise reconnut les pr�mices de sa jouissance, sa bouche se fit encore plus douce, sa gorge encore plus profonde et plus accueillante, elle accentua l'�treinte de ses l�vres sur la racine du gros cylindre de chair, sa bouche aspira encore plus fort tandis que sa langue fr�tillait � la pointe du m�at.
Soudain, en un grand frisson convulsif Miloud �jacula avec un r�le de bonheur, projetant son abondante semence en saccades dans les tr�fonds de sa gorge.
Il d�chargea longuement, se vidant les couilles comme il l'avait promis la contraignant � avaler son sperme � petites gorg�es pour ne pas �touffer.
Il ne lui l�cha pas la t�te pour autant, laissant sa bite se ramollir, se ratatiner dans la douce ti�deur de sa bouche tandis qu'elle lapait les r�sidus sur la queue, la lui rendant bien propre.
Puis il lui enjoignit d'aller faire son service, il l'attendrait apr�s le d�part des cars, et les l�vres poisseuses, luisantes de secr�tions elle quitta la chambre, le go�t acre du sperme coll� aux papilles.
Trois quart d'heure plus tard elle �tait de retour et se pliait � son interrogatoire :�
- A quelle heure ton mari rentre-t-il ce soir
- Il est parti au salon de Lille et ne rentrera pas...� Avant lundi soir !
- Quelqu'un peut-il garder tes enfants ?
- Oui...� Ma m�re le fait lorsque je lui demande...� Mais
- Alors viens, on va lui t�l�phoner...� Ca va s'arranger�
La prenant par le bras, Miloud l'entra�na vers le bureau o� se trouvait le t�l�phone.
Y entrant, tout �tonn�e, elle surprit, Murielle la brune �ducatrice de Week-end se livrant � la m�me activit� qu'elle m�me une heure plus t�t.
Murielle la bouche pleine de Stephan, rougit puis p�lit � la vue de l'arrivante, Stephan d'une petite tape sur la nuque la rappela � l'ordre, l'invitant ainsi � poursuivre sa fellation sans plus s'occuper des intrus.�
- J'ai envoy� les petits a la t�l� avec une cassette de cul, ils ont pris leur plateau repas et iront directement se coucher, sans nous emmerder, apr�s le film� S'ils nous enquiquinent, je les ai pr�venus qu'ils auraient tous une racl�e et surtout que ce serait termin� les films X, alors tu penses bien...� Ils vont nous foutre une paix royale ! Annon�a gaiement Stephan.
Contemplant Murielle Fran�oise comprit qu'elle n'�tait pas la seule � se plier a leur chantage, ce n'�tait certainement pas volontairement que Murielle su�ait la bite de Stephan, et tandis que la hampe coulissait hargneusement entre les l�vres serr�es, les coups de boutoir se faisant plus nombreux et plus violents, Fran�oise imaginait avec honte le tableau qu'elle aurait offert � qui que ce soit p�n�trant dans la chambre de Miloud une heure plus t�t.
Le rythme de la fellation se fit plus fr�n�tique, la grosse queue semblait s'enfoncer plus encore dans la gorge de la victime, d'un dernier �lan Stephan planta son mandrin au fin fond de la bouche soumise, plusieurs spasmes le secou�rent.
Fran�oise se repr�sentait les longs jets de sperme gluants frappant les parois lisses des joues, avant de s'�couler dans l'arri�re gorge de la suceuse, le flot devait �tre particuli�rement important, malgr� les rapides mouvements de d�glutition de Murielle des larmes blanch�tres suint�rent aux commissures de ses l�vres, et, lors du retrait de Stephan un long filet spermatique s'�tala en larges filaments glaireux sur le menton de la fellatrice.
Comme avide de ne rien laisser perdre, Murielle � grands coups de langue nettoya d'abord la hampe luisante, puis en bonne m�nag�re appliqu�e elle t�ta les derni�res gouttes de semence sur le m�at avant de ranger l'objet de sa sollicitude dans le pantalon de Stephan.
Ce dernier proposa � Miloud :
- Si tu veux en profiter...�� Elle a fait d'�normes progr�s, elle a des talents qu'on ne soup�onnait pas, si tu veux y go�ter... Elle ne demande que �a��
- Non merci� Le remercia Miloud
- J'en sors, bient�t Fran�oise sucera aussi bien qu'elle, elle aussi est pas mal dou�e���
- Mais o� se trouve Charles ?
- Il est parti avec son appareil photo, depuis qu'on a vu l�infirmi�re se gouiner, il ne d�sesp�re pas de la coincer... �
- Ce serait terrible, d'avoir chacun notre radasse, faudra t�cher de l'aider et crois moi si on arrive � lui tirer le portrait en pleine activit�, ce sera pas plus difficile que pour ces deux l� de la faire filer doux...� Faut creuser la question...� En attendant, tu me passes le t�l�phone... Toi viens ici...� Madame Ledoux� va expliquer � ses enfants qu'elle doit remplacer quelqu'un au dernier moment...� Pr�viens aussi ta m�re qu'elle devra s'occuper de tes moujingues jusque lundi...� T�es bloqu�e � l'IME jusque l� !
Docilement, Fran�oise prit le combin� des mains de Stephan et composa son num�ro.
A l'invite de Miloud, Stephan v�rifia sa tenue, et, comme on d�crochait � l'autre bout du fil, Fran�oise sentit une main s'immiscer entre ses cuisses, remonter rapidement jusqu'� son but, d�friser sa toison, �carter sa fente, un doigt inquisiteur se ficha dans son vagin l�g�rement humide.�
� Allo Fr�d�rique... C'est maman... J'ai un petit probl�me� Dit elle alors que du doigt Stephan entamait des all�es et venues dans sa gaine, rapidement, il plongea un second doigt dans le tendre r�ceptacle.
Fran�oise eut un petit sursaut de douleur, son trou secret distendu � la limite de la souffrance.�
� Voil�... Rien de bien grave... Murielle qui �tait de service ce week-end doit partir d'urgence... Un deuil dans sa famille�
Stephan propulsait maintenant son pouce vers l'avant de la fente, ses petites l�vres s'humidifiaient lentement, son petit clitoris se raidissait sous les manipulations brutales.
� Vous allez... Rejoindre votre grand-m�re� Balbutia-t-elle d'une voix hach�e, les sensations se faisant de plus en plus fortes.
� �Maman... Ca ne va pas ? T'es malade ? Questionna sa fille inqui�te.
� Non...� Non...� Ca va... Je suis seulement...� Essouffl�e...� J'ai couru Jusqu'au...� T�l�phone ! R�pliqua Fran�oise tentant de toutes ses forces de se dominer, son ventre la taraudait maintenant, il s'animait d'une houle ardente, elle frottait toute sa vulve sur la paume de la main de Stephan.
D'un geste brusque, il retourna son poignet et voulut forcer du pouce les fronces de son anus r�calcitrant.
Pour mieux parvenir � ses fins, extrayant ses doigts du con ruisselant il enduisit copieusement le fondement de ses secr�tions intimes, puis r�ins�ra ses doigts dans le fourreau.
Il poussa d'un coup bref, l'anus de Fran�oise se d�plissa, les sphincters s'arrondirent admettant le pouce fouisseur, Fran�oise ne put retenir un cri.
� A�e... Non...� Non...� Ma ch�rie...� Je me suis heurt�e le coude... Contre la tablette...� Je... Je pr�viens votre grand-m�re...
Et incapable de contenir plus longtemps ses hal�tements de jouissance, elle leur livra le spectacle de son orgasme en claquant le combin� sur son reposoir.
Elle n'arr�tait pas de jouir, d'avoir convers� avec sa fille alors que Stephan lui manipulait la moule et le cul avait fait sauter les derniers freins de sa libido, cette situation si particuli�re, malgr� la pr�sence indirecte de ses enfants, ou peut-�tre � cause d'elle, en d�pit de son avilissement,
avait r�veill� sa nature exigeante, elle savait maintenant que plus rien ne� serait plus jamais comme avant, elle avait pris trop de plaisir en cette situation incongrue.
Avec un plop sonore, Stephan extirpa le pouce de son cul et complimenta Miloud :�
- Tu avais foutrement raison... Elle a le feu au cul...� Quelle salope ! Sous ses airs de sainte Nitouche, elle d�marre au quart de tour, un doigt dans le fion et c'est le 14 juillet... Ah on va pas s'ennuyer, elle nous a demand� des efforts pour se la taper, mais maintenant que tu la tiens bien, tu verras qu'elle finira par y prendre son pied...� T'en feras ta chienne, comme moi de Murielle, hein ma salope !
Et tandis que Murielle opinait de la t�te, Fran�oise rougit comme une tomate, Stephan venait de traduire cr�ment tout ce qu'elle cherchait encore � se cacher, les penchants masochistes qui s'�veillaient en elle et surtout le trouble �moi qu'elle ressentait � sentir son corps, son cul, sa
chatte malmen�s sans tenir aucun compte ni de son plaisir ni de son avis.
Elle se sentait rabaiss�e au niveau d'une poup�e gonflable dont on se servirait � volont� de tous les orifices sans jamais solliciter son accord, de plus de savoir qu'elle ne pouvait plus rien leur refuser sous peine du scandale qui na�trait de sa r�volte, de se savoir � l'enti�re disposition de Miloud et ses copains lui entrouvrait des horizons sem�s de honte et de plaisirs m�l�s.
Ayant repris son souffle et ses esprits, elle t�l�phona � sa m�re, qui bien entendu ne vit aucun obstacle � prendre en charge les enfants, bien trop heureuse, au contraire de pouvoir en jouir tout le week-end.
La porte claqua, Charles les rejoignait.�
� L'autre salope est arriv�e... Annon�a-t-il
� Mais elle est seule, Murielle m'a amen� la cam�ra vid�o de son cocu, apr�s souper on ira voir ce qu'elle fabrique... J'ai coinc� tous les volets roulants, comme �a on pourra tout voir et filmer...� En attendant... Si on allait bouffer�
D�s arriv� au pavillon, les trois comparses se servirent un ap�ro, tandis que les filles se dirigeaient vers la cuisine, o� tout en pr�parant le repas elles purent �changer leurs confidences, comparant leurs situations respectives.
Murielle s'�tait fait pi�ger un mois plus t�t, son mari directeur de banque avait pris du galon et il naviguait de s�minaires en conf�rences.
A ses retours, de moins en moins fr�quents en semaine, il se montrait fatigu� et de ce fait peu empress� de remplir ses devoirs conjugaux. Bien que tr�s li�e � son mari, afin de satisfaire les exigences d'une sexualit� tyrannique, Murielle avait pris un amant et le retrouvait discr�tement sur le seul lieu possible � l'insu de ses enfants, de ses parents et de ses relations, c'est � dire � l'IME.
Ils avaient d�couverts une clairi�re paisible, o� dans le calme, et � l'abri des regards, du moins le croyait-elle, ils pouvaient se livrer en toute qui�tude � leurs �bats, jusqu'au jour ou des �clairs de flashs avaient fig� son
image sur des photos ou on la voyait parfaitement effectuer un 69 passionn� avec son partenaire.
La peur du qu'en dira-t-on, la crainte du divorce, de la s�paration d'avec ses enfants, du scandale l'avaient conduite � la m�me situation que Fran�oise maintenant.
M�me sans le t�moignage des photos, s'ils parlaient elle �tait cuite... Son mari ne supporterait pas... Il lui serait facile de prouver... Elle ne pouvait se permettre aucune indiscr�tion...
Depuis un mois, tous les week-ends, en �change de leur silence, elle se pliait � tous leurs caprices, virtuellement elle appartenait � Stephan qui avait d�couvert sa liaison, mais il la pr�tait volontiers � ses copains.
Ils en jouissaient tous sans restrictions, l'avaient initi�e � la sodomie, la partousaient sans lui demander son avis, la p�n�traient � deux, � trois simultan�ment.
Elle pratiquait maintenant l'art du sandwich, avalait le sperme comme une grande, en un mot elle avait d�couvert tout un monde de stupre et de fornication qu'elle n'avait m�me pas jusque l� soup�onn�.
Elle se r�jouissait de voir arriver Fran�oise, sa servitude en serait d'autant all�g�e, et c'est donc deux fois moins �puis�e qu'actuellement qu'� l'avenir elle quitterait le boulot.
Fran�oise elle m�me verrait bien que bient�t elle aussi prierait afin que l�infirmi�re tombe dans leurs rets, car si elle venait rejoindre leur club, c'est autant qui leur serait �pargn� � elles deux.
Le repas se d�roula dans le calme, tous trois r�fl�chissaient � la meilleure fa�on de pi�ger l�infirmi�re, ils en discutaient fi�vreusement, �chafaudant les plans les plus sophistiqu�s qui les autoriseraient� � soumettre la belle rousse.
Ils �taient si absorb�s que c'est � peine si, au cours des all�es et venues de leurs serveuses, les mains s'�gar�rent sous les jupes pour palper distraitement les croupes dodues ou flatt�rent sans plus d'insistance les intimit�s velues.
La vaisselle exp�di�e, vers 9 heures, ils v�rifi�rent que les trois petits se trouvaient bien face � l'�cran, ils leur rappel�rent leurs recommandations et s'en furent �pier la rousse panseuse.
Elle logeait dans une maisonnette en contre-bas, du haut du talus, allong� dans les hautes herbes, dissimul� par d'�pais buissons, on pouvait sans risque embrasser du regard tout le studio, on apercevait distinctement le lit � gauche le long du mur, le coin toilette avec sa cabine de douche et les WC sur la droite.
Pour l'instant, le dos tourn� � la baie vitr�e, la jeune femme inconsciente des regards �valuateurs regardait la t�l�.
Les trois comparses, nantis de leurs esclaves, pouvaient surveiller en toute s�curit�, �loign� d'une petite vingtaine de m�tres tous les faits et gestes de leur proie.
Pour l'instant elle se servait un verre d'alcool bien tass�, son ennui devait �tre profond, car dans les vingt minutes qui suivirent elle ne consomma pas moins de trois verres bien remplis.
Enfin elle se leva, �teignit le poste et voulut descendre les stores, Charles avait bien travaill�, elle ne put les baisser et abandonna rapidement.
Elle semblait engourdie, vraisemblablement par l'alcool, ses �volutions �taient lentes, ses gestes amples mais ralentis.
Elle commen�a par d�boutonner sa blouse, apparaissant en combinaison noire, puis toujours aussi doucement elle l'enleva offrant � ses mateurs subjugu�s un spectacle d'un fol �rotisme douillet.
Ses sous v�tements contrastaient fortement avec l'image traditionnelle de la femme au travail, ils contempl�rent tout d'abord la lisi�re large des bas noirs attach�s aux fines jarretelles qui striaient les cuisses � la couleur pain d'�pice.
Le porte jarretelle qui lui cernait le ventre �tait noir incrust� de dentelles rouges, bient�t ils virent qu'il �tait assorti au soutien gorge contenant tant bien que mal son opulente poitrine.
Continuant son strip-tease involontaire, elle posa le pied sur une chaise, et de trois quart profil d�grafa ses jarretelles avant de faire glisser sensuellement le bas sur la jambe, sa position permettait de distinguer vaguement quelques poils follets d�passant la mince ficelle du string lui s�parant les deux h�misph�res, se perdant dans la vall�e ombreuse, avant de couvrir la gousse d'une tache rouge dont ils pouvaient apercevoir la pointe.
Les bas enlev�s, le string et le porte jarretelles subirent plus rapidement le m�me sort, la main dans le dos elle d�grafa enfin les attaches du soutien gorge et apparut alors dans son int�grale nudit�.
Elle fit quelques pas vers le miroir du coin toilette et se mit � appr�cier manuellement la pl�nitude de ses formes, � deux mains, elle palpa son ample croupe, escalada les flancs puis vint soupeser ses lourdes mamelles.
Charles, le plus verni distinguait nettement, dans son objectif, la large ar�ole plus brune qui cerclait les t�tons raidis, presque violets de ses mamelons.
Les autres se contentaient de noter le violent contraste entre les bandes blanches soulignant les fesses et la poitrine, tranchant vivement avec la carnation g�n�rale de la belle, les bandes �taient forts r�duites .... l'�t� elle ne devait arborer que le strict minimum sur les plages.
Apr�s cinq minutes de caresses enveloppantes et lascives, elle s'�tendit sur le dos, resta inerte quelques minutes.
Puis lentement, comme dot�e d'autonomie ses cuisses s'�cart�rent alors que ses mains se dirigeaient en rampant vers la gousse poilue, les cuisses grandes �cart�es permirent � nos spectateurs privil�gi�s de constater que sa chevelure �tait bien en rapport avec le pubis.
Aucun doute c'�tait une vraie rousse, un vrai r�gal pour les yeux.
Avec lenteur elle immis�a ses doigts dans le triangle pubien d�m�la les poils, d�gageant la cicatrice profonde marquant son bas ventre.
Elle les faufila ensuite dans sa fente, comme pour en tester l'incontestable moiteur, flatta son clitoris, le pin�ant, le pressant jusqu'� ce qu'il se dresse avec fiert�, formant un petit ergot incarnat.
Puis brusquement le rythme s'acc�l�ra, elle engouffra ses doigts dans le vestibule luisant, for�a violemment le sanctuaire les enfon�ant au plus profond de son vagin largement distendu.
Les all�es et venues d�voilaient largement le goulot du con �carlate, les bords en accompagnaient les coulissements, se retroussant en de longs �clairs de chair violette, avec brutalit�, sans pr�caution, � sec elle se fourra le majeur dans le cul et se branla simultan�ment les deux trous.
Miloud et Stephan s'�taient d�culott�s, leurs bites tendues, violac�es les torturaient.
Ils enjoignirent a leurs femelles de les branler doucement, l'actrice involontaire fouilla dans sa table de nuit et en extirpa un phallus aux dimensions respectables, de longueur ordinaire, mais d'un calibre �quivalait au diam�tre du poignet de Miloud.
La belle s'en poignarda, avec une violence inou�e, la monstrueuse bite de plastique for�ait les chairs �cartel�es � la limite de la rupture, les grimaces de l�infirmi�re r�v�lait la souffrance due � la brutale intromission et pourtant elle commen�ait � l'agiter dans son con b�ant.
A ce spectacle Miloud et Stephan ne purent r�sister, ils tir�rent leurs partenaires et les forc�rent � emboucher leurs pals fr�missants de d�sirs.
Les all�es et venues du monstrueux postiche ne dur�rent pas bien longtemps et les trois orgasmes �clat�rent en m�me temps.
Tandis que Miloud et Stephan explosaient, s'�panchant avec abondance dans les bouches ti�des de leurs fellatrices, inondant leur arri�re gorge, les gavant de semence jusqu'� l'estomac, dans un dernier saut de carpe, la bouche crisp�e sur des cris inaudibles de l'ext�rieur, l'orgasme �clata
dans le ventre de la rousse, elle resta longtemps encore allong�e sur son lit, le corps agit� de frissons convulsifs avant d'�teindre la lumi�re.
La derni�re image qu'ils emport�rent d'elle la montrait cuisses grandes �cart�es, yeux extasi�s le postiche d�mesur� plant� jusqu'� la garde dans son intimit� dont les bords boursoufl�s �pousaient �troitement la forme.�
� Ben mon vieux� S'exclama Charles admiratif.
� Quelle s�ance...� Je vous jure bien qu'on lui foutra son gode dans le cul les copains !
Tous cinq regagn�rent le groupe encore sous le coup des �motions qu'avaient provoqu�s en eux le spectacle hautement pornographique, obsc�ne que leur avait, bien involontairement fourni, la rousse au caract�re de feu.
Crev�s, mais des images d�lirantes de lubricit� fix�es sur les r�tines, ils s'�tendirent aupr�s de leurs femelles repues et sombr�rent rapidement dans un sommeil r�parateur que ne tard�rent pas � partager leurs z�l�es fellatrices, la bouche encore poisseuse, impr�gn�e de l'odeur, du go�t de leurs m�les.
Coulybaca
Texte personnel
9 mai 2008.
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