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L'ombre du pass�
Coulybaca
Texte personnel
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Chapitre 10�: suite et fin de l’�pop�e.
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Ali arriva une demi heure plus tard, alors que d�j� la vieille salle d�saffect�e de l'ancienne briqueterie �tait bond�e�: cent vingt �trangers, arabes, espagnols, portugais � racol� dans les cinq foyers de banlieue, ainsi que d'autres venant des milieux interlopes avaient pay�s, chacun cinq cent francs, pour assister aux spectacles.
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Avant le d�but de la soir�e, Ali avait d�j� en caisse 9. 000 euros.
Karim exposa alors le programme, les quatre femmes lutteraient dans une ar�ne au milieu de la salle, les deux gagnantes seraient tir�es ensuite � la loterie, alors que les deux perdantes seraient livr�es � la salacit� d'animaux, tous les coups seraient permis.
A ces mots, les quatre concurrentes fr�mirent, c'�tait pire que tout ce qu'elles avaient envisag�, aucune ne s'�tant jamais fait saillir par une b�te en rut, elles d�cid�rent de se d�foncer, pr�f�rant apaiser la lubricit� du gagnant, que de livrer leur ventre � la trique noueuse d'une bestiole quelle qu'elle soit.
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Pendant ce temps, Aurore et Isabelle faisaient connaissance avec le service d'ordre, horrifi�es, elles reconnurent des employ�s de mairie, qu'elles c�toyaient parfois, ces derniers, reconnaissant leurs proies se r�jouirent, ils allaient enfin pouvoir profiter de ces belles femelles qui, en temps normal leur �taient interdites.
Le tirage au sort d�signa les adversaires, Mil�ne devrait affronter Sylvette, alors qu'Arlette et Jeannine leur succ�deraient.
La blonde Mil�ne et la brune Sylvette se firent face au centre d'une ar�ne, d�limit�e par des cordes, moul�es dans des maillots rouges et bleus, les cheveux longs de Mil�ne rassembl�s en un chignon sur la nuque.
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D'embl�e elles �chang�rent quelques horions, la petite brune, cherchant � �viter le contact direct, alors que Mil�ne cherchait par tous les moyens � l'agripper, une bretelle du maillot de Sylvette craqua, elle se retrouva la belle petite poitrine pommel�e rougie par les coups � l'air.
D'un revers de bras elle saisit Mil�ne � l'entrejambe, assurant sa prise sur le sexe imberbe de la blonde qui hurlait de douleur, en se d�gageant, Mil�ne d�chira son maillot, exhibant aux yeux des spectateurs ravis sa fente glabre, enfin elle agrippa la brune par les cheveux, la fit chuter et se jeta sur elle, t�te b�che, l'immobilisant.
Karim allait la d�clarer vainqueur, lorsqu'un hurlement de souffrance jaillit de sa gorge.
Profitant de sa position, Sylvette mordait � pleine dents le sexe gorg� de sang, d�j� des gouttes sanglantes coulaient le long de ses babines.
Les yeux r�vuls�s, folle de douleur, Mil�ne s'�vanouit, son corps mollit. Comprenant sa victoire, Sylvette se releva, les yeux brillants, les sens �chauff�s par la lutte, sans m�me r�parer les d�g�ts de sa tenue, elle s'assit aux cot�s de Karim alors qu'on tra�nait Mil�ne en coulisse pour la r�conforter, et la pr�parer pour la suite.
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C'�tait maintenant au tour d'Arlette et de Jeannine de s'affronter.
La brune Jeannine prit les devants, ass�nant � son adversaire une gifle retentissante.
Ebranl�e, cette derni�re roula au sol, roul�e en boule, elle sursautait durement � chaque coup de pied re�u, enfin, dans un ultime geste de d�sespoir, elle agrippa la jambe de la brune, remonta jusqu'� l'entrejambe, et d�chirant son maillot la saisit par les babines sensibles.
Jeannine cria sa douleur � pleine gorge, la main ennemie lui arrachait la moule, la contraignant � venir au sol, la main toujours riv�e au sexe de la brune, Arlette voulut retourner son adversaire sur le ventre, mal lui en prit, car dans le mouvement, elle desserra les doigts et l�cha sa proie. Vive comme une anguille, la brune se redressa vivement, s'assit � califourchon sur le dos de son ennemie, la clouant au sol, et sous les bravos de la foule, elle d�nuda � son tour la croupe de la blonde, d�chirant l'entrejambe du maillot.
La croupe blanche, marbr�e de taches rouges fut �cart�e avec violence, voulant rendre � Arlette tout le mal qu'elle avait endur�, sans piti�, Jeannine for�a du pouce l'anneau fronc� du cul, tandis que son index se fichait dans le ventre, avec cruaut� elle pin�a le p�rin�e entre ses doigts, de toute ses forces.
Hagarde, des larmes ruisselant sur son visage, Arlette demanda merci, s'avouant vaincue par la douleur intol�rable que Jeannine lui imposait.
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Ainsi les deux brunes ayant remport� leurs combats seraient mises en loterie, alors que les deux blondes, livides assureraient le spectacle.
Sylvette et Jeannine, int�gralement nues, une corbeille sur le ventre fendirent la foule proposant deux s�ries de tickets diff�rents�: chaque ticket valait 30 euros, quatre cents tickets furent vendus, Ali souriait de plus en plus, ravi de l'aubaine : 12.000 euros de plus dans l'escarcelle.
Lasses de se promener entre les rang�es de mains, qui au passage appr�ciaient leurs charmes, caressant une fesse, introduisant un doigt dans l'anus, dans la fente, pin�ant un t�ton, les deux femelles revinrent vers l'organisateur.
Au su et au vu de tous, il fourra tous les talons de billets dans une vaste urne, Arlette et Mil�ne se charg�rent du tirage, Jeannine �chut � un gros noir, tout fris�, qui hilare s'empara de sa proie, fourrant ses mains partout, alors qu'un portugais, la trentaine, gagnait le cul de Sylvette.
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Pendant ce temps, Isabelle et Aurore faisaient plus amples connaissances avec les subordonn�s de leurs maris, ils �taient huit, quatre de service, quatre de repos.
Un quinquag�naire bedonnant, besognait d�j� Aurore en cul, alors qu'un gringalet � la bite malodorante se faisait sucer.
Isabelle, empal�e sur la grosse queue d'un noir, se faisait enculer par un petit arabe cruel, qu'elle avait d'ailleurs rembarr� en cours de semaine. Non content de lui investir la croupe, la queue comprim�e dans son fondement il lui malmenait les fesses, les pin�ant, les griffant, les �cartant durement pour mieux voir son gros gourdin violac� perforer l'anus serr� baguant sa hampe d'un bourrelet mauve.
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Leurs premiers plaisirs pris, ils chang�rent de partenaires, et purent jouir plus calmement des deux belles avilies.
Pendant ce temps, Jeannine et Sylvette les gros chibres de leurs vainqueurs au fond de la gorge ne pouvaient suivre les pr�paratifs, qu'effondr�es, folles d'anxi�t�, les deux blondes surveillaient.
Deux carcans furent amen�s sur sc�ne, Mil�ne et Arlette durent s'agenouiller, passant la t�te et les bras dans des trous pr�vus � cet effet, puis leurs jambes largement �cart�es furent li�es par les chevilles aux bases des tr�teaux supportant l'ensemble .
De profil par rapport � la grande salle, leurs croupes blanches, gr�l�es de peur se faisaient face.
Le nain qui avait si durement encul� Arlette, la semaine pr�c�dente, fit le tour de la sc�ne, tenant en laisse deux dogues agit�s, n'osant croire ce qu'elles pressentaient, les deux femmes sanglotaient, pleurnichaient, conscientes de l'inanit� de leurs pleurs.
Miloud l�cha les chiens, qui se ru�rent sur les deux victimes �cartel�es, ins�rant leurs truffes chaudes entre les fesses offertes, ils entreprirent de l�cher longuement les blessures naturelles.
Les grands coups de langues couraient dans les fentes, impr�gnant les babines de ces dames de bave, engluant les anus et les vagins entrouverts de par leurs positions.
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D�go�t�es, r�vuls�es de honte, les deux salopes ne pouvaient emp�cher leurs croupes d'onduler, les coups de langues fr�n�tiques des deux chiens qui leur astiquaient la moule finissaient par �chauffer leurs sens. Ec�ur�es de leurs veuleries, elles ne pouvaient plus s'emp�cher de pousser des g�missements de plaisir.
Enfin, sur un signe de leur ma�tre, les deux chiens arr�t�rent, Miloud, aid� de ses comparses, leur livra leur r�compense.
Elles sentirent les chiens escalader leurs croupes, griffant leurs dos, ils se mirent en position, pr�ts � copuler, la croupe secou�e de brefs soubresauts.
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Guid�s par les mains secourables de leurs aides, les deux chiens battant de la queue contre les fesses f�minines, s'immobilis�rent, apr�s avoir frott�s longuement les membres durs dans les fentes d�tremp�es.
Les aides remont�rent un peu les chiens, point�rent leurs membres fins et longs sur les oeillets frissonnants et d'une claque sur les reins invit�rent les chiens � poursuivre.
D'un seul �lan les deux bites raides s'engouffr�rent dans les rosettes crisp�es ; les deux chiens accroch�s des griffes aux flancs de leurs partenaires entam�rent leur ignoble co�t.
Il dura longtemps, les bites animalesques, s'enfon�aient et sortaient avec violence des rectums asservis sur un rythme �lev�.
Enfin mordant les deux femmes aux gras des hanches ils se vid�rent dans leurs flancs fr�missant.
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Encore secou�s de tressaillement, ils rest�rent longtemps coll� aux culs de leurs victimes, attendant la d�tumescence qui leur permettraient de s'extraire des rectums contract�s.
Les deux femmes purent reprendre leurs souffles, secou�es de sanglots, elles prenaient pleine conscience de la torture qu'elles venaient de subir, mortifi�es d'avoir pris un malsain plaisir dans cet avilissement bestial. Enfin les chiens purent se lib�rer, Miloud et ses comparses, les forc�rent � pencher la t�te au sol, relevant ainsi tout leur ventre, tendant maintenant leur sexes glabres, aux l�vres grandes ouvertes vers le public.
Le gros noir explosait pendant ce temps dans le rectum de Jeannine, alors que Sylvette emmanch�e par ses trois orifices, sentait la bite de son gagnant se vider dans son cul, avant qu’il la pr�te aux copains, r�cup�rant ainsi sa mise.
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Aurore et Isabelle, haletantes, les flancs battants accueillaient dans leurs trous largement graiss�s l'autre �quipe, toute aussi avide de leurs charmes.
Un bruit de sabots raclant sur le sol attira l'attention des spectateurs, et sous les yeux horrifi�s des deux femmes, deux boucs, la queue tra�nant entre les jambes, firent leur entr�e sous les bravos de la foule ravie.
Arlette sentit les sabots de la b�te frotter contre ses flancs, d�j�, Miloud enfon�ait l'�norme gourdin noir�tre dans son ventre, hurlante de d�go�t et de souffrance, elle sentit son ventre se d�chirer lors de l'abominable intromission, le hurlement de Mil�ne � ses cot�s souligna la synchronisation des immondes empalements.
Le ventre ouvert elles sentirent, au bord de la folie, les sinistres chibres les pourfendre, s'enfon�ant avec d�termination dans leurs muqueuses, �largissant leurs gaines, les distendant incroyablement.
Les spectateurs voyaient les monstrueux braquemarts envahissant les chattes d�form�es, le corps secou� de violents soubresauts, la bouche hurlante elles sentirent les bites animalesques s'enfoncer jusqu'au col dans leurs matrices meurtries, les estropiant peut-�tre � vie, du moins le craignaient elles.
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Le co�t beaucoup moins spectaculaire des deux b�tes cornues dura longtemps, ils s'�ternisaient dans les ventres chauds, agitant leurs reins de lents et amples mouvements.
A chaque pouss�e elles se sentaient un peu plus d�fonc�es par les immondes chibres qui les bourraient, en pleurs, elles connurent enfin l'ultime outrage, auxquels elles aspiraient cependant.
A gros bouillons les deux boucs d�charg�rent leurs flots, l'ignoble semence envahit leurs grottes, les remplissant, les gorgeant de mani�re inimaginable.
Comme les deux chiens, ils rest�rent accol�s � leurs croupes, leurs chibres se ratatinant lentement dans les flancs fr�missants.
Enfin, ils retir�rent, leurs bourreaux d�li�rent les liens des deux femmes, et folles de d�go�t, �puis�es, elles roul�rent au sol, ou elles rest�rent, inertes, le corps secou� de tressaillements nerveux alors que les chiens revenaient pour se gorger une derni�re fois du sperme d�bordant de leurs cramouilles b�antes.
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Les spectateurs quitt�rent la salle enchant�s du spectacle, Mil�ne et Arlette purent aller s'�tendre deux bonnes heures dans une petite salle annexe, alors que les deux gagnants se voyaient autoris�s � emmener leurs lots dont ils pourraient user et abuser jusqu'au lendemain matin.
Aurore et Isabelle virent alors les deux �quipes r�unies converger vers elle, leur v�ritable soir�e commen�ait.
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Epilogue
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Voyageur qui traverse Moulins, si ton h�te arbore une chevali�re orn�e d'une tete de loup, demande lui de t'emmener � son club .
L�, tu pourras en toute s�curit�, profiter des plus somptueuses putains de la r�gion.
En semaine, comme le week-end, les plus belles h�tesses t'accorderont leurs faveurs, tes d�sirs leur seront des ordres, elles t'ouvriront leurs cuisses, leurs fesses ou leurs l�vres selon ta volont�.
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Au hasard des rencontres, contre un abonnement forfaitaire tu pourras toi aussi t'envoyer ces belles dames de la haute, que tu les rencontres dans des bouges ou des les manifestations les plus selects.
Bien que toutes travaillent chacune leur tour au club, elles sont devenues les �g�ries de groupes particuliers :
- Arlette Dumas, Mil�ne servent fr�quentent dans les bars louches, tous les truands, les demi-sels de la r�gion se les envoie par vengeance, dame que c'est doux de se faire l'�pouse du commissaire qui vous a arr�t� ou la femme du procureur qui a plaid� contre vous.
- Aurore, et Isabelle se mirent � tra�ner souvent dans les sous sols de la mairie, ou les employ�s communaux prirent l'habitude de se les fader, se vengeant, eux, des rebuffades endur�es de la part de leurs maris le jour.
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- Clothilde et Solange, auxquelles se joignirent bient�t Isabelle et d'autres se sp�cialis�rent dans les soir�es ou les n�gociateurs de la mairie purent se gorger de leurs charmes .....
Chacune leur tour elles durent se plier, pour le plaisir d'africains pervers, sous les coups de boutoir de chiens, de boucs, et m�mes d'�nes qui les ramonaient jusqu'� l'�me.
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Ali manage en toute impunit� son cheptel, assur� qu'au premier p�pin, ces dames n'auront d'autres d�sirs que d'�touffer l'histoire.
Mieux m�me, lorsqu'une d'entre elle faiblit, mena�ant de tout r�v�ler, ses amies se liguent contre elle pour la ramener dans le droit chemin.
Si � dix-huit ans, elles se faisaient trousser par la jeunesse dor�e du lieu qui profitait de tous leurs orifices, elles ont maintenant �largi leur client�le, tous du truand au riche pervers, en passant par les arabes, les noirs, les jaunes peuvent profiter de leurs largesses, et comme le proclame leurs statuts, ne se doivent-elles pas � l'�ducation et au confort des masses populaires .
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FIN
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Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuissez@orange.fr
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