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L'OMBRE DU PASSE .
Coulybaca (Texte personnel)
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Chapitre 8�: le recrutement de nouvelles gagneuses.
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Attabl� devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son fr�re et de ses sbires .
Cela faisait maintenant un mois qu'il avait lanc� l'op�ration, aux dix premi�res femelles, �taient venues s'ajouter six autres gagneuses, tout autant disponibles :
_ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, � qui elle n'avait jamais avou� sa faute, ne devait jamais la conna�tre, aussi se pliait-elle aux injonctions d'Ali avec autant de bonne volont� que ses cons�urs. Belle blonde sophistiqu�e, on lui aurait donn� le bon dieu sans confession ; en fait elle se r�v�lait ardente, chaude au lit, elle n'avait eu aucun besoin de formation compl�mentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d'�puiser le m�le le plus exigeant dans un minimum de temps.
D�j� elle s'�tait faite une client�le particuli�re qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu'ici irr�prochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air ing�nu.
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_ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commer�ant en gros et Nicole Dulac, l'�pouse d'un agent g�n�ral d'assurances, le pi�ge s'�tait referm� sur elle d'une toute autre fa�on.
Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amiti� qui unissait les deux femmes, Ali soup�onna vite plus qu'un attachement amicale, apr�s plusieurs jours d'espionnage, il d�couvrit le petit nid qui abritait leurs amours, � une vingtaine de kilom�tres de Moulins.
S'en ouvrant � Solange et Clothilde, il apprit qu'elles ne pouvaient voir leurs amours �tal�s au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la soci�t� Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.
Bient�t le guet-apens fut pr�t, le propri�taire du petit h�tel, contre la promesse, de s'envoyer � sati�t� les deux salopes, permit � Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu'elles retenaient � chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d'observer, de photographier de la pi�ce voisine.
Il poussa la complaisance jusqu'� pr�venir Ali, d�s leur prochain rendez-vous. Confortablement install�s, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs �bats intimes.
Ali aimait particuli�rement un clich�, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, d�montrant amplement la cruaut� du jeu.
Il ne d�daignait pas pour autant d'autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, t�te b�che, se su�ant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d'une langue curieuse, ou s'empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimit�s simultan�ment.
Celle qu'il leur avait envoy�e les repr�sentait int�grement nues, allong�es l'une sur l'autre t�te b�che, Isabelle fouillant d'une langue pointue la vulve luisante de sa tendre amie, tandis que Nicole �cartant ses fesses � deux mains lui prodiguait une savoureuse feuille de rose.
Le lendemain, elles �taient au rendez-vous fix�, et pleurnichant acceptaient toutes ses conditions, comme l'avait pr�dit Aurore, leur position sociale ne pouvait leur permettre de voir �tal�e au grand jour leurs turpitudes.
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Ren�, le propri�taire de l'auberge, re�ut leur visite d�s le lendemain, driv�es par Mohamed, elles devaient combler les d�sirs de leur d�lateur, en r�compense de ses r�v�lations.
Elles s'y employ�rent avec r�signation, les deux hommes se succ�d�rent entre leurs fesses, leurs cuisses et leurs l�vres.
Dans une folle apr�s-midi, ils se permirent toutes les fantaisies, terminant par un savoureux sandwich dont Isabelle constituait la tranche de jambon.
Mohamed enfoui profond�ment au fond de son con et Ren� la poss�dant puissamment par l'anus se firent l�cher les burnes par Nicole, qui devait de la pointe de la langue agacer les deux verges plant�es dans les orifices de sa belle amie.
Lorsque dolente, d�bordante de foutre, Isabelle resta affal�e en travers de la couche, Nicole dut encore nettoyer les queues des deux salauds, puis elle lapa le foutre suintant de l'anus et du con de sa compagne, avalant d'un m�me coup de langue semence et cyprine m�l�es.
Ravi de la conclusion de l'aventure, Ren� se promit de surveiller tous les couples ill�gitimes qui pouvaient se rencontrer chez lui, d�cid� de signaler � Ali toutes les proies susceptibles de rejoindre son cheptel.
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Pour Charlotte Vend� c'�tait encore mieux, Ren�, le propri�taire de l'h�tel, avait pr�venu Ali que depuis quelques semaines un couple venait furtivement deux fois par semaine, dans ce couple il lui semblait bien avoir reconnu Madame Vend�, jeune veuve de trente huit ans qui avait eu les honneurs de la presse quelques ann�es plus t�t.
Son mari, gravement malade �tait d�c�d�, laissant derri�re lui un testament sp�cifiant qu'elle jouirait de ses rentes tant qu'il ne serait pas remplac�, au moindre �pisode amoureux, l�galis� ou non, le testament deviendrait caduque, l'h�ritage serait alors partag� entre de vagues neveux, qui depuis ce jour �piaient les faits et gestes de la belle h�riti�re.
Il lui avait �t� facile de v�rifier ces assertions, le d�c�d� ayant d�pos� dans l'�tude du mari de Sylvette.
A la grande joie d'Ali les faits s'�taient av�r�s r�els.
A partir de ce moment, il sut qu'il ne tarderait pas � jouir d'une nouvelle pute.
Effectivement, la vue de la photo qu'il lui amena personnellement la convainquit imm�diatement de plaquer son amant pour le remplacer par un souteneur impitoyable.
Le march� fut trait� sur le canap� de Charlotte.
Une photo la repr�sentant � quatre pattes sur le lit de l'auberge, l'anus d�fonc� par un �norme gourdin, le sphincter semblant cercler l'�pais mandrin d'un bague de bronze suffit � la subjuguer.
Sur l'ordre d'Ali elle se d�shabilla en sanglotant, il s'assouvit voluptueusement dans ses reins, dans sa bouche et dans son con, avant de lui annoncer son esclavage � venir.
Pour elle le choix �tait simple, ou elle acceptait de se soumettre, troquant son silence contre quelques apr�s midis charg�es, et quelques soir�es bien remplies chaque semaine, ou elle refusait et se verrait contrainte de renoncer � la vie ais�e, confortable, � la position envi�e que lui conf�rait l'h�ritage de feu son mari.
Sanglotant, elle accepta toutes ses conditions, promettant de se prostituer pour lui s'il n'informait pas les �ventuels h�ritiers de son inconduite.
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- Avec Jeannine Duclos, l'affaire devenait croustillante, cette s�millante brune de trente cinq ans passait pour un bastion inattaquable, femme du plus gros promoteur de la r�gion, elle profitait de son oisivet� pour militer dans toutes les associations bien-pensantes du lieu, d�cernant des prix de vertu, ses jugements d�finitifs conf�raient � ses victimes une aur�ole de vertu ou le titre de fieff�e salope, ce qui les excluait automatiquement du cercle des gens bien, leur fermant les portes des r�ceptions de bon ton.
C'est avec joie que Clothide et Solange qui s'�taient fait �gratigner par ce parangon de vertu, apprirent qu'elle entretenait des relations bizarres avec son beau-fils, fruit d'un premier mariage de son mari.
Une longue vue braqu�e sur la villa de la jeune femme permit � Ali de v�rifier les faits, cependant il eut bien du mal � leur tirer le portrait en situation vraiment inavouable.
Il poss�dait d�j� quelques photos ou on la voyait embrasser passionn�ment son jeune amant, mais cela ne suffisait pas � prouver la relation incestueuse, lorsqu'un apr�s-midi, de faction devant la villa, il vit s'absenter les deux domestiques, il s'en r�jouit, pensant que les deux amants se montreraient moins m�fiants de ce fait.
La suite lui d�montra qu'il avait raison, le jeune homme, se croyant � l'abri des regards indiscrets se d�v�tit et plongea nu dans la piscine, apr�s quelques �volutions, Charlotte, en maillot une pi�ce vint le rejoindre, il projeta de l'eau sur elle, l'aga�ant jusqu'au moment ou elle plongea � son tour dans l'eau.
D�s ce moment, Ali se mit � mitrailler les acteurs qui chahut�rent tout d'abord innocemment.
Soudain, il vit la belle brune se raidir contre le muret de la piscine, la main du jeune homme agrippa les bretelles du maillot, d�nudant lascivement son buste, elle se laissait faire, tendant la poitrine, offrant ses mamelons � la bouche humide de son beau-fils qui les lui su�ait tendrement.
Apr�s quelques minutes de ce tendre jeu, le jeune �talon la repoussa sur le bord de la piscine, se tortillant, elle se conforma � son d�sir, s'extirpant de son maillot collant.
Jambes grandes ouvertes, assise sur le rebord de la piscine, elle offrait sa d�chirure aux coups de langue habiles de son amant, qui lui su�otait maintenant le clitoris, remontait le long des babines, introduisait la pointe de sa langue dans l'anneau ridel�, au c�ur des fronce brunes de son anus.
Secou�e de spasmes violents, elle ne put r�sister longtemps � ce r�gime, elle l'attira sur elle, puis roulant sur son corps, elle s'empala avec fr�n�sie sur sa bite fr�missante.
Ignorante du danger, c'est avec fougue qu'elle se livra une bonne partie de l'apr�s-midi aux tendres �bats, se vissant sur la queue raidie, l'absorbant jusqu'� la racine, la trayant de son ventre avide avant de lui rendre de la bouche de la vigueur.
Les derni�res photos prises par Ali, les repr�sentait cote � cote alanguis, les yeux dans le vague, la main du jeune homme ins�r�e entre les jambes de la belle brune, qui masturbait lentement la bite apais�e, cherchant machinalement � lui soutirer quelques gouttes de plus.
En plein cin�ma, lors de la projection d'un documentaire sur la condition des femmes en Afrique, film qui pr�c�derait un d�bat hautement instructif sur la question, Ali prit la place d'Aurore assise � ses c�t�s.
Sachant que toutes les places alentours �taient occup�es par ses cr�atures, Ali put en toute discr�tion soumettre � l'examen de la jolie femme les photos scabreuses la concernant.
Elle s'empourpra, renifla, ferma les yeux, an�antie.
Catastroph�e, elle ne repoussa pas la main du jeune arabe qui s'insinuait sous sa robe, remontait le long de ses cuisses nues, touchait le fond de sa culotte.
Ce n'est qu'� ce moment qu'elle serra violemment les jambes, emprisonnant la main aventureuse, tout en jetant de rapides coups d’�il alentours, craignant de se faire remarquer.
Lui pin�ant le gras des cuisses, Ali la mena�a, de monter dans la cabine de projection, pour projeter sur le grand �cran des diapos du m�me tonneau.
Haletante, elle ne put que murmurer :
D�sempar�e, elle ob�it, �carta en grand son compas, offrant aux doigts fouineurs la totalit� de son ventre crisp�.
Il aventura d'abord un doigt entre les l�vres charnues, puis il caressa lentement toute la figue crisp�e, enfon�ant un doigt dans le vagin puis l'anus de la jeune femme �perdue.
Elle ne pouvait s'agiter, se refusant � signaler l'agression dont elle �tait l'objet, aussi se laissait-elle passivement caresser, cherchant � dissimuler le plaisir naissant dans ses lombes.
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La prenant par la nuque, il la for�a � prendre son chibre tendu entre les l�vres, il lui appuyait sur la t�te l'obligeant � accomplir une fellation acceptable.
Enfonc� jusqu'� la garde entre ses l�vres, il ne tarda pas � lui embourber la gorge, lui d�versant des flots de sperme dans l'arri�re gorge, qu'elle avala en hoquetant.
An�antie, catastroph�e, elle se leva alors, suivant ses ordres et accompagnant son ma�tre-chanteur Aurore elle dut se rendre aux toilettes.
Aurore faisant le guet, elle entra dans les WC pour dames, et sur l'ordre d'Ali se pencha en avant, mains pos�es sur la fa�ence blanche.
Tout de suite, elle sentit une main masculine relever sa jupe, d�voilant sa croupe crisp�e, ses deux globes opulents couverts de chair de poule, une �norme pine parcourut son profond sillon avant qu'un gland �pais ne presse son anus.
R�vuls�e d'horreur, elle sentit deux mains �carter largement ses fesses, livrant son trou secret en spectacle, l'inconnu qui la mena�ait de son chibre hors norme se r�galait � la vision de son oeillet frip�, ridel�, contract� par l'angoisse et la honte, d'un coup sec le gland s'engagea dans le tunnel r�tract�, la laissant s'habituer quelques secondes avant de la pourfendre d'un grand coup d'estoc, la d�chirant avec force, empal�e jusqu'� la garde, elle se retourna pour identifier son agresseur et vit un grand noir, souriant � grandes dents en s'enfon�ant dans son boyau, tandis qu'Ali photographiait sa d�ch�ance.
Eperdue, secou�e d'importance par son enculeur, pleurant � chaudes larmes elle subit sa lubricit� jusqu'au bout, s'effor�ant de se dilater au maximum pour amoindrir la douleur irradiant de ses lombes.
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Enfin, � bout, elle sentit la grosse queue qui la remplissait toute se dilater encore, puis projeter des flots �pais et gras au fin fond de son rectum.
Comme �gar�e, folle d'humiliation, elle se retournait pour quitter ce sinistre endroit, t�moin de sa d�ch�ance, une nouvelle bite sombre se pr�senta � sa bouche, alors qu'un gros nord africain, la bousculant s'asseyait sur le si�ge des WC.
L'attirant � lui, le gros arabe enfourna sa queue dress�e dans son ventre vierge de toute lubrification.
Incendiant son vagin, il s'imposa avec vigueur dans son conduit � vif, tandis que le braquemart sombre s'engloutissait entre ses l�vres br�lantes.
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Sous les �clairs du flash, se tortillant sur le pivot �rig�, elle dut sucer goul�ment la pine fr�missante qui lui d�formait la bouche, s'enfon�ant comme un coin dans sa bouche.
La joie de ses suborneurs de profaner la belle blonde en pleurs �tait telle que quelques instants ils s'exon�r�rent l'un au fond de sa gorge, l'autre au fond de sa matrice.
Le cul et le con d�bordant de semence, le sperme coulant lentement de ses ouvertures naturelles poissant son entre fesse, les papilles impr�gn�es du go�t acre du sperme de son chevaucheur de t�te, elle r�int�gra la salle sous l’�il ironique d'Aurore et ses cons�urs, conscientes que dor�navant elles les accompagnerait dans leurs soir�es de d�bauche.
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Effectivement, la prude Charlotte eut beau temp�ter, supplier, pleurnicher, sangloter, la semaine suivante elle se rendait dans le foyer le plus proche, et sous la conduite de Mohamed proposait ses reins son ventre et sa bouche � la salacit� d'une vingtaine de clients d�cha�n�s.
Sa vie changea du tout au tout, son beau fils se vit exp�di� dans une universit� lointaine, quittant avec regrets et sans explications ce corps sensuel dont il tirait tant de plaisir, alors que sa ma�tresse, se conformant aux prescriptions de ses ma�tres, vendait son corps, un jour sur deux � leur profit.
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Pour la sixi�me recrue, ce fut encore plus facile, Ren� signala un mardi la pr�sence dans la chambre au miroir, de la femme du procureur du tribunal, �g�e de trente ans la blonde Mylene Servant trompait son ennui en jouant discr�tement les grues.
Ses fantasmes l'avaient pouss�es � racoler discr�tement des clients, les entra�nant dans une auberge d�rob�e, ou contre r�tribution elle leur faisait don de ses orifices.
Quelques photos expressives suffirent � la convaincre de mettre ses talents au service d'Ali et consort en �change de leur silence, et depuis ce jour elle se livrait avec le plus grand plaisir aux clients les plus exigeants, trouvant son plaisir dans l'accomplissement de ses fantasmes les plus pervers.
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Ren� qui avait �t� l'un des premiers � s'en servir avait signal� � Ali les aptitudes particuli�res de cette belle blonde, qui pouvait accueillir au fond de sa gorge les bites les plus cons�quentes, prenant son pied en livrant son anus et son con aux bites les plus extravagantes.
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Le club masculin, informel s'�tait aussi constitu�, chaque membre permanent portait une grosse chevali�re orn�e d'une t�te de loup, � sa vue, chaque femelle du staff se pliait au moindre volont� du porteur, quelque soit l'endroit ou l'heure de la rencontre.
Ainsi, lors de d�jeuners mondains, de bals de bienfaisance ou d'apr�s midis r�cr�atifs, elles pouvaient toutes se faire aborder et contenter des clients parfois exigeants.
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Lors du dernier gala de bienfaisance auquel participaient Clothilde Aurore et Myl�ne, elles devisaient gaiement, gris�es par l'atmosph�re chaleureuse de la soir�e, dans cet ar�opage, elles se croyaient � l'abri de toute mauvaise surprise, lorsqu'elles virent un petit groupe d'invit�s s'approcher d'elles, les quatre hommes arboraient la maudite bague, elles ne les connaissaient pas, et pourtant elles savaient qu'elles devraient se mettre enti�rement � leur disposition.
Les prenant par le bras, ils les entra�n�rent vers l'�tage, � peine dans l'escalier, elles sentirent des mains moites enqu�ter sous leurs robes, v�rifiant leurs tenues : croupes d�nud�es encadrant des bas sombres soutenus par des porte jarretelles de couleurs vives.
Aurore qui montait au c�t� de Clothilde tr�bucha, un doigt imp�rieux venait de lui forcer l'anus, les fesses serr�es elle continua de gravir les marches, examinant la croupe d�nud�e de Myl�ne qui dansait devant elle, une main fourr�e dans l'entrejambes.
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D�s arriv� sur le palier, l'un des quatre se mit en faction, tandis qu'ils p�n�traient dans une chambre vide, Aurore agenouill�e prit entre les l�vres la grosse queue brune que lui tendait un cinquantenaire bedonnant, elle la m�chouilla longuement, tandis que Mil�ne jet�e sur le lit, gisant sur le dos, dans le d�sordre de ses jupes relev�es offrait son corps gracile aux assauts d'un grand blond tout aussi membr�, � quatre pattes � ses c�t�s, Clothilde �cartait de tous ses doigts son oeillet, le d�fripant, en �cartant les fronces pour mieux d�voiler son int�rieur blanch�tre, d'un seul �lan, brisant d'un seul coup tous les obstacles, son client l'embrocha jusqu'� la garde, lui repoussant les boyaux, les d�plient en force pour faire son logement.
D�j� celui qui chevauchait Mil�ne se vidait au fond de sa matrice, lui enjoignant de se placer � quatre pattes au c�t� de Clothilde et d'ouvrir tout grand son cul, il rempla�a le factionnaire de guet.
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Entrant dans la pi�ce, ce dernier d�couvrit Aurore, la bouche pleine du sexe de son client, l�vres bien arrondies autour du cylindre, coulissant lentement sur la hampe rigide, Clothilde, encul�e jusqu'aux couilles qui, d'avant en arri�re, s'empalait au maximum sur le gros chibre qui la comblait et Mil�ne s'�cartelant la blessure, cambrant les reins, offrant en toute obsc�nit� l'acc�s de son con ou de son cul selon son envie, il fourragea dans sa braguette, en sortit une �norme bite brune qu'il d�trempa d'abord dans le vagin de la belle blonde, puis lui planta roidement dans le fondement, Mil�ne qui voyait depuis quelques temps se concr�tiser ses fantasmes les plus pervers, se mit imm�diatement en branle, roulant des hanches, par de savants retraits et douloureuses intromissions chercha son plaisir, enfin dans un hoquet de plaisir il l�cha un torrent de foutre au c�ur de ses intestins, tandis qu'Aurore la bouche pleine de sperme visqueux regardait Clotilde en prendre � son tour plein le cul.
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Les deux fra�ches encul�e, changeant de partenaire durent nettoyer les queues, macul�es de taches brun�tres, � la saveur douce�tre, des deux enculeurs, puis toutes trois, �chevel�es, elles durent descendre le grand escalier, Clothilde et Mil�ne, l'anus douloureux sentaient le foutre de leurs enculeurs d�border de leurs trous fumants, pour poisser les plis de leurs fessiers, alors qu'Aurore la bouche p�teuse, le go�t de son client en bouche, sentait son suiveur s'arroger une derni�re g�terie, lui fourrant deux doigts r�unis dans l'anus.
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Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
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